Des habitants locaux et l’opposition ont fait des déclarations sur le tournage d'une vidéo truquée d’une attaque chimique dans la province d'Idlib, a fait savoir le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie.
Selon le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, il existe de nouveaux témoignages sur le tournage d'une vidéo truquée des conséquences de pilonnages avec utilisation de « gaz toxique », dans la province d'Idlib, fournis par des habitants locaux et l'opposition. Des cadreurs travaillant pour Al Jazeera y ont pris part comme conseillers.
« D'après l'information reçue par de nombreuses sources, soit des habitants locaux et des groupes de l'opposition, dans les localités de Saraqib et Jisr al-Choghour, des "brigades vidéo" ont réalisé un tournage d'une vidéo truquée des conséquences présumées de pilonnages et de frappes de l'aviation, y compris avec utilisation de "gaz toxique", pour la semaine prochaine », lit-on dans le communiqué du Centre russe.
Et d'ajouter que parmi les conseillers travaillant pour ces "brigades vidéo", des habitants locaux ont pu reconnaître des cadreurs qui couvrent les actualités dans la région pour la chaîne Al Jazeera.
Selon le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, il existe de nouveaux témoignages sur le tournage d'une vidéo truquée des conséquences de pilonnages avec utilisation de « gaz toxique », dans la province d'Idlib, fournis par des habitants locaux et l'opposition. Des cadreurs travaillant pour Al Jazeera y ont pris part comme conseillers.
« D'après l'information reçue par de nombreuses sources, soit des habitants locaux et des groupes de l'opposition, dans les localités de Saraqib et Jisr al-Choghour, des "brigades vidéo" ont réalisé un tournage d'une vidéo truquée des conséquences présumées de pilonnages et de frappes de l'aviation, y compris avec utilisation de "gaz toxique", pour la semaine prochaine », lit-on dans le communiqué du Centre russe.
Et d'ajouter que parmi les conseillers travaillant pour ces "brigades vidéo", des habitants locaux ont pu reconnaître des cadreurs qui couvrent les actualités dans la région pour la chaîne Al Jazeera.
ALEP : Pierre Le Corf visite le QG des CASQUES BLANCS
Jeudi 4 mai, des sources militaires et diplomatiques ont fait savoir à des journalistes russes que des travailleurs indépendants de la chaîne qatarie Al Jazeera avaient réalisé un tournage d'une vidéo truquée dans les localités de Saraqib, Ariha et Jisr al-Choghour, dans la province d'Idlib. Al Jazeera a démenti ce fait.
Ce n'est pas la première fois qu'une information pareille remonte à la surface. Ainsi, le 2 mai, la chaîne libanaise Al Mayadeen a annoncé, citant des sources locales et des témoins, qu'une équipe de Casques blancs était arrivée à Idlib pour un tournage. Selon la chaîne, des habitants de Saraqib ont été contraints d'y participer.
Une équipe d'une chaîne satellite arabe a participé à cet événement, qui avait pour but, de toute évidence, de préparer un tournage truqué d'une attaque chimique ressemblant à celle de Khan Cheikhoun.
Les Casques blancs est une organisation, qui, selon elle-même, a été conçue afin de protéger les civils syriens. Ces dernières années, des vidéos où des hommes avec des casques blancs sauvent des enfants des décombres font de plus en plus souvent leur apparition sur le Web.
Cependant, d'autres vidéos ont été diffusées en parallèle où on peut voir comment ces mêmes Casques blancs truquent leurs images en maquillant les « victimes » et en leur dictant ce qu'elles doivent dire.
En outre, des journalistes syriens ont montré dans leurs sujets des « sauveteurs » avec des armes et en uniforme. Le Président de la Syrie Bachar el-Assad a déclaré que les membres des Casques blancs étaient en réalité des partisans du groupe terroriste Al-Qaïda.
L'Organisation des médecins suédois pour les droits de l'homme, une organisation publique à but non lucratif, avait précédemment publié une déclaration affirmant que les procédures de « sauvetage », filmées par les Casques blancs après les attaques chimiques présumées en Syrie, étaient fausses.
Jeudi 4 mai, des sources militaires et diplomatiques ont fait savoir à des journalistes russes que des travailleurs indépendants de la chaîne qatarie Al Jazeera avaient réalisé un tournage d'une vidéo truquée dans les localités de Saraqib, Ariha et Jisr al-Choghour, dans la province d'Idlib. Al Jazeera a démenti ce fait.
Ce n'est pas la première fois qu'une information pareille remonte à la surface. Ainsi, le 2 mai, la chaîne libanaise Al Mayadeen a annoncé, citant des sources locales et des témoins, qu'une équipe de Casques blancs était arrivée à Idlib pour un tournage. Selon la chaîne, des habitants de Saraqib ont été contraints d'y participer.
Une équipe d'une chaîne satellite arabe a participé à cet événement, qui avait pour but, de toute évidence, de préparer un tournage truqué d'une attaque chimique ressemblant à celle de Khan Cheikhoun.
Les Casques blancs est une organisation, qui, selon elle-même, a été conçue afin de protéger les civils syriens. Ces dernières années, des vidéos où des hommes avec des casques blancs sauvent des enfants des décombres font de plus en plus souvent leur apparition sur le Web.
Cependant, d'autres vidéos ont été diffusées en parallèle où on peut voir comment ces mêmes Casques blancs truquent leurs images en maquillant les « victimes » et en leur dictant ce qu'elles doivent dire.
En outre, des journalistes syriens ont montré dans leurs sujets des « sauveteurs » avec des armes et en uniforme. Le Président de la Syrie Bachar el-Assad a déclaré que les membres des Casques blancs étaient en réalité des partisans du groupe terroriste Al-Qaïda.
L'Organisation des médecins suédois pour les droits de l'homme, une organisation publique à but non lucratif, avait précédemment publié une déclaration affirmant que les procédures de « sauvetage », filmées par les Casques blancs après les attaques chimiques présumées en Syrie, étaient fausses.
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