mardi 30 juin 2020

Infatigable, le New York Times invente un nouveau bobard sur la Russie basé sur des "sources anonymes" !

(Image: getty)
Selon le NYT, véritable usine à Fake News planétaire, les russes ont payé les talibans pour qu'ils tuent des soldats américains et britanniques en Afghanistan! Si, si. le tout émanerait d'une source des services secrets US et Britanniques, source "anonyme" bien entendu.

Evidemment, le félon Donald Trump, ce suppôt de l'ogre de Moscou "était au courant" et "n'a rien fait", cela va sans dire, et les médias mainstream (NYT,Washington Post, CNN et le Guardian) sont outrés au dernier degré par ce scandale.

Ne me demandez surtout pas pourquoi la Russie aurait donné des primes aux talibans pour faire EXACTEMENT LA MÊME CHOSE QU'ILS FONT DÉJÀ GRATUITEMENT AVEC UN ENTHOUSIASME SANS FAILLE DEPUIS 20 ANS !

Moi aussi, comme vous, je trouve cette idée complètement stupide mais c'est considéré comme tout à fait sérieux et crédible puisque des médias "de référence" aussi dignes de confiance que CNN et le WaPo affirment que c'est vrai. Peu importe si les précédentes "révélations fracassantes" sur la "collusion russe", l'affaire du coup de fil ukrainien et autres fadaises se sont absolument toutes révélées bidons, on continue sans relâche à leur accorder confiance, aussi hallucinant que cela puisse paraître.

Il faut se rendre à l'évidence, ces gens vivent dans un univers fantasmatique incroyable à la compréhension duquel nous n'avons définitivement pas accès, mes chers amis.

Les "informations" auraient été obtenues par des interrogatoires de prisonniers talibans et de... criminels. Si si. Des sources incontestablement reconnues pour la fiabilité de leurs informations, vous en conviendrez tous aisément avec moi.

Une chose semble certaine, c'est que le monde peut brûler autour d'eux, les médias mainstream, le Deep State US, les Démocrates et leurs alliés républicains bushistes resteront imperturbablement fixés sur leur obsession perpétuelle : inventer des bobards plus débiles les uns que les autres sur la Russie pour tenter de s'en servir contre le Président Trump.

/Bertrand R.
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Message de Bertrand : Mes amis, la censure TOTALE du Blogue Noir de Brocéliande par Facebook depuis plus de quatre mois, m'a privé d'une part importante de mes revenus publicitaires, me mettant en grave difficulté financière (c'est bien entendu le but recherché). 
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samedi 27 juin 2020

LOI AVIA : LA CENSURE CENSURÉE

USA : Des déboulonnages de statues sélectifs


Robert Byrd : Leader du KKK et sénateur Démocrate pendant 51 ans, "mentor" d'Hillary Clinton.

... Sa statue n'est toujours pas déboulonnée.

Pour en savoir plus sur le sénateur Byrd : LIEN
Oups! Les médias ont oublié de vous parler de "l'ami et mentor" d'Hillary, l'ancien leader du KKK R. Byrd (R.I.P.) : LIEN


mercredi 24 juin 2020

Florian Philippot : "qui finance les Traoré ?"



Les images de l'intervention de la police contre les 9 manifestants pour le Frexit : LIEN

Laetitia Avia au centre d'une nouvelle affaire d'emploi illégal présumé d'assistants parlementaires



Entretien du 23/6/2020 avec Didier Maïsto, président de Sud Radio, et Cyrille Dalmont, chercheur associé pour l'Institut Thomas More. Ils commentent l'affaire incriminant Laetitia Avia dans l'emploi illégal présumé d'assistants parlementaires, et le rôle de Médiapart concernant ces révélations. Ils évoquent l'ambiguïté du rôle des assistants parlementaires, dont le cadre légal est mal défini, et livrent leur analyse à la lumière des débats qu'a suscités l'action de la parlementaire ces dernières semaines.

mardi 23 juin 2020

Pierre-Yves Rougeyron : Affaire George Floyd, du fait divers à l'hystérie identitaire

La France est raciste ? L'incroyable histoire d'Eugène Bullard, premier pilote de chasse noir de l'Histoire



Eugene James Bullard, né le 9 octobre 1895 à Columbus (Géorgie, États-Unis) et mort le 12 octobre 1961 à New York, est un Afro-Américain, pilote dans l'armée française durant la Première Guerre mondiale.

Vous connaissiez le film américain FlyBoys ? Avec ce pilote noir ? Et bien il s'agissait d'Eugene Bullard, sauf que dans la réalité, Eugene à été refusé pour participer à l'escadrille LaFayette, les américains refusant de côtoyer un homme noir. La France, par contre, lui ouvrit grand ses bras.

L'affaire Adama Traoré : LIEN - LIEN

Le grand-père d’Assa Traoré possédait-il des esclaves au Mali ? : LIEN

Selon la sœur d'Adama Traoré, les Gilets Jaunes sont des "fachos" : LIEN

Manifestation pour la régularisation des sans papiers - Paris 20 Juin 2020 :

Florian Philippot décrypte le scandaleux trucage de l'élection présidentielle de 2017 et le plan de Macron pour truquer l'élection de 2022

Le grand-père d’Assa Traoré possédait-il des esclaves au Mali ?



Intéressant reportage sur l’esclavage au Mali, chez les Soninkés, l’ethnie à laquelle appartient Assa Traoré, et tout particulièrement à Kayes, dont son grand-père fut gouverneur. Issu de la noblesse locale, il a probablement lui même possédé des esclaves.



Il y a même eu des manifestations en France contre l’esclavage chez les Soninkés, mais aucun média ne les relaient. Pourtant, cet esclavage là est toujours en vigueur.

Source : LIEN

samedi 20 juin 2020

L'Histoire de France revisitée par Netflix : Une pure escroquerie


Ces lâches français de l'histoire d'Azincourt - Blacklist

Voir aussi :
Shocking! French revisionism at Agincourt! : LIEN
Comment le film "Le Roi" saccage l'histoire : LIEN


jeudi 18 juin 2020

Un monde absurde



Aldo Sterone


DIVISER POUR RÉGNER



LES SOIGNANTS MANIFESTENT, LES ANTIFAS FONT LA LOI – Lapierre, Brut !

Dominique Lormier : "Les vérités cachées de la défaite de 1940"

Sortie de l'état d'urgence reportée ? «Il y a un vrai problème en France, il est à la tête du pays»



Entretien du 17/6/2020 avec Alexis Poulin, cofondateur du Mondemoderne.info. Il fait le point sur le prolongement de l'état d'urgence sanitaire, et s'oppose fermement au caractère autoritaire de ces mesures, parlant de coup d'Etat déguisé. Il estime que ces décisions sont calibrées pour restreindre les libertés publiques afin de limiter les possibilités de nuisance pour l'exécutif de la vague contestation profonde que traverse le pays.

mardi 16 juin 2020

Manifestation pour l’hôpital : Des CRS déposent leurs casques et applaudissent les soignants



16 Juin 2020 - Des CRS ont déposé leurs casques et applaudi les soignants lors de la manifestation pour demander de meilleures conditions de travail à l’hôpital.

Source : @JulietteAlpha17 sur Twitter

L'affaire Floyd : Une opération concertée pour mobiliser le vote noir aux Etats-Unis ?



Selon Alexis Cossette-Trudel, les manifestations contre le racisme aux E-U sont destinées a mobiliser le vote noir en faveur du parti démocrate en perte de vitesse dans cette communauté qui lui était traditionnellement acquise et qui lui est indispensable pour pouvoir espérer une victoire de Joe Biden en Novembre à la présidentielle.

lundi 15 juin 2020

Poutine à propos de Trump : “Il a gagné, et sa victoire était absolument évidente et démocratique [mais] le parti vaincu a inventé toutes sortes d’histoires bidons pour tenter de mettre en question sa légitimité”


Poutine sort du bois [Dedefensa]

Le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a fait quelque chose de très inhabituel. Il est intervenu, en quelques mots et phrases très précises, dans les affaires intérieures d’un pays en crise, – et pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit des États-Unis.

Voici d’abord le texte, qui nous vient de Tass, le  14 juin 2020 ; l’on note que Poutine lui-même rappelle qu’il n’a pas l’habitude de s’immiscer dans les affaires intérieures d’un  pays étranger (c'est une règle d'or de la diplomatie russe, au nom de la souveraineté nationale), mais il le fait tout de même...

« Les émeutes aux États-Unis montrent que ce pays connaît une profonde crise interne, a déclaré le président russe Vladimir Poutine dans une interview retranscrite sur la page Instagram de “Moscou-Kremlin-Poutine”, de l'animateur de télévision Pavel Zaroubine.
» “Ce qui se passe [aux Etats-Unis] est la manifestation d’une crise interne profonde”, a déclaré Poutine, notant que cette crise avait été observée depuis longtemps, depuis que le président américain Donald Trump a pris ses fonctions. “Il a gagné, et sa victoire était absolument évidente et démocratique [mais] le parti vaincu a inventé toutes sortes d’histoires bidons pour tenter de mettre en question sa légitimité”, a expliqué M. Poutine.
» Le dirigeant russe a fait remarquer qu'il essaie généralement de “commenter avec prudence ou de ne pas commenter du tout ce qui se passe dans d'autres pays”.
» Poutine a également déclaré que le problème clé du système politique américain est le fait que les partis placent leurs intérêts au-dessus de ceux des gens. “Il me semble que, dans ce cas, les intérêts des partis et des groupes sont placés au-dessus des intérêts de la société entière et des intérêts des gens”... »

... “Mais il le fait tout de même”, écrivions-nous plus haut. Poutine constate qu’il n’a pas l’habitude d’intervenir dans les affaires intérieures, selon la règle d’or de la Russie, mais s’il le fait tout de même, comme c’est le cas, alors le message est clair : “L’affaire est bien assez importante, la crise bien assez grave, pour que je me permette de transgresser cette règle d’or et dise tout haut ce que bien peu ose dire”. Bien sûr, c’est nous qui extrapolons sur le dernier membre de la phrase, mais il nous importe de remarquer que Poutine est bien le seul dirigeant mondial à avoir pris la véritable mesure de la crise de américanisme et avoir dit tout haut que cette crise de l’américanisme est absolument énorme et catastrophique, et que si elle va à son terme le monde entier en sera secoué et le système actuel, – le Système, certes, – en sera frappé à mort.

(Nous disons volontiers que ce n’est pas pour nous déplaire et peut-être est-ce le cas pour Poutine également. En attendant, l’effondrement, le chaos s’ensuivant, la nécessité de trouver de nouveaux arrangements et de créer de nouvelles structures résultant d'une telle catastrophe, seront un processus extrêmement pénible, terrible, dangereux, qui va tous nous faire souffrir.)

Un autre signe de l’urgence qui habite Poutine, c’est qu’il ne cherche même pas à adoucir ses accusations et ses constats. Il ne dissimule pas qu’il juge le parti démocrate et ses humeurs hystériques autour de lui, responsables de la mise en pièce de la légitimité, donc de la débilitation du pouvoir à Washington D.C. Tout se passe comme si, désormais, il se fichait bien de toutes les attaques de mouches du coche hallucinées et stipendiées, des simulacres de services de renseignement complètement incompétents et inexistants, concernant son intervention dans le processus électoral (Russiagate et tout le toutim). Cette fois, il intervient, et peu lui chaut ce qu’on pourrait en dire, – et l'on peut être assuré que l'on en dira beaucoup, dans le genre halluciné, –simplement parce que l'affaire est trop grave.

Par ailleurs, il nous semble qu’il y au moins deux points précis qui interviennent pour pousser Poutine à sortir du bois, outre l’importance intrinsèque de la crise :

• Faire savoir aux généraux du Pentagone que la Russie suit de près la situation intérieure américaniste, qu’elle est donc prête à tout. Les Russes ont certainement observé avec la plus grande inquiétude certaines manifestations de quasi-insubordination du pouvoir militaire vis-à-vis du président. Poutine demande ainsi aux généraux US que, quoi qu’ils fassent, ils restent conscients des relations stratégiques des USA avec la Russie, de la puissance russe, de l'enjeu d'une guerre nucléaire, et que cette responsabilité doit être dans l’esprit de tous.

• Les Russes n’ont pas été sans remarquer diverses prises de position de Trump (suivies ou pas d’effets, c’est une autre affaire, un autre débat, qui n’enlève rien à l’affichage de communication des choses dites) ; notamment, le retrait d’un contingent de soldats US d’Allemagne, la bonne volonté affirmée des USA de signer un nouveau traité sur les armes stratégiques nucléaires, une déclaration de Trump selon laquelle les USA doivent cesser leurs guerres lointaines et leur rôle de gendarme... Peu importe, encore une fois, ce qu’il en sera, l’essentiel est de soutenir cette bonne volonté, en calculant d’ailleurs que si Trump reste au pouvoir en ayant eu contre lui l’essentiel du DeepState, peut-être comprendra-t-il que le meilleur moyen de s’en sortir est de rompre toutes les attitudes convenues (on dit “casser les codes” dans les salons) et lancer une politique extérieure de désengagement radicalement nouvelle et révolutionnaire.

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De fausses rumeurs sur la santé de Trump pour mieux cacher la santé défaillante de son adversaire



Il suffit que Donald Trump descende un peu prudemment une plateforme inclinée pour éviter de s'étaler devant les caméras pour que les médias en fassent toute une histoire, imaginant des problèmes de santé inexistants, mais quand son adversaire Démocrate Joe Biden confond sa sœur et son épouse, ils ne voient même pas le besoin d'en parler...

Manif du clan Traoré soutenue par le gouvernement et les multinationales VS Manif pour le FREXIT et le RIC qui vaut une contravention à 135 Euros



Florian Philippot explique la stratégie d'horizontalisation des luttes pratiquée par le pouvoir macronien à travers deux exemples frappants en plein cœur de l'actualité.

mardi 9 juin 2020

Black Lives Matter rendra-t-il la Suède plus paisible ?



Quelques images des manifestations de Göteborg et Stockholm.

Alexandre Cuignache - "La démocratie ce n'est pas le règne de l'émotion"

Castaner considère que les manifestations interdites doivent être tolérées quand elles servent le gouvernement



Des manifestations qui divisent le peuple, c'est une bénédiction pour le pouvoir macronien, pourquoi le gouvernement les empêcherait-il ?

Nouveau culte BLM aux USA : Nancy Pelosi incapable de se relever seule après s'être agenouillée pour une séance photo


La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, et un certain nombre de ses collègues du Congrès se sont réunis à genoux lundi pour commémorer rituellement le moment où un policier a pressé son genou sur le cou de George Floyd, mais la séance de photos ne s'est pas tout à fait déroulée comme prévu.

Manifestations Black Lives Matter en Caroline du Nord : Les policiers s'agenouillent et lavent les pieds des organisateurs



Nouveau culte en Amérique : Des policiers blancs de Cary, en Caroline du Nord, lavent les pieds des chefs religieux de la nouvelle religion "BLM" et demandent leur pardon pour les crimes de l'esclavage aux Etats-Unis il y a plus d'un siècle et demi.

lundi 8 juin 2020

Le FMI annonce le Grand Reset

[HUMOUR] Romain Guérin dissèque Charlie Hebdo


PERSIFLAGE 6 : Lecture de Charlie Hebdo

Marlène Schiappa :"Je n'suis absolument pas candidate à être première ministre"


Marlène des Anges  #Episode3

L'Allemagne ne veut pas d'une Europe fédérale et se prépare à la division de la zone euro


 Angela Merkel a accepté de se prêter au jeu de communication du Président Macron, en signant une déclaration franco-allemande illusoire, dont elle ne peut apporter aucune garantie, puisque dans son propre pays, la chancelière a les mains liées par le système fédéral et parlementaire. Mais le chef d'Etat français a joué la carte de la menace populiste, s'appuyant sur des sondages créditant Marine Le Pen de 45% des voix au deuxième tour de l'élection présidentielle, si elle avait lieu en ce moment.

Angela Merkel, encore traumatisée par la montée brutale de l'AFD à partir de 2015, par la victoire de Salvini aux élections générales de 2018 et par le Brexit - Berlin n'attendait aucun de ces événements -, avait toutes les raisons de venir au secours du Président français, qu'elle n'aime pas, mais qui demeure le meilleur garant des intérêts allemands dans l'Hexagone.

Alors qu'elle s'attendait à être critiquée au sein même de son parti, la chancelière a finalement trouvé le soutien de la branche la plus capitaliste de la CDU, incarnée par l'un des très sérieux candidats à sa succession : Friedrich Merz, par ailleurs Président de l'association Allemagne - États-Unis. C'est que la Droite capitaliste allemande a besoin de l'euro, pour le bon fonctionnement de son économie, basée sur les exportations.

Mais que va-t-il vraiment se passer, maintenant que les Allemands ont offert son show au Président Macron et mis en colère les vrais alliés de Berlin (les pays frugaux) ?

En France, les eurosceptiques croient que le plan de relance présenté par la Présidente de la Commission Européenne - une allemande, Ministre de l'Armée dans le précédent gouvernement Merkel - ouvre la voie à plus de fédéralisme. C'est une erreur. Les Allemands ne veulent pas d'une Europe fédérale. Il suffit pour s'en rendre compte de lire la tribune-réponse à Emmanuel Macron d'AKK, la dauphine d'Angela Merkel, lors des dernières élections européennes :

Aucun super-État européen ne saurait répondre à l'objectif d'une Europe capable d'agir. Le fonctionnement des institutions européennes ne peut revendiquer aucune supériorité morale par rapport à la coopération entre les gouvernements nationaux. Refonder l'Europe ne se fera pas sans les États-nations: ce sont eux qui fondent la légitimité démocratique et l'identification des peuples.
Les Allemands ne veulent qu'une chose, c'est pérenniser le marché commun et l'union monétaire. Pour cela, ils attendent des réformes brutales de notre Droit du travail et une inflexion à la baisse de la dépense publique : tout le contraire de ce que Macron a promis aux Français pour le monde d'après. D'ailleurs, lors de leur conférence de presse commune, les deux chefs d'État ont oublié d'expliquer ce passage discret de la déclaration franco-allemande : « Elle s’appuiera sur un engagement clair par les États membres d’appliquer des politiques économiques saines et un programme de réformes ambitieux », et Merkel a laissé le Président français faire son spectacle sur la dette commune. Cela a bien fait rigoler à la CDU. Un allemand de Bruxelles m'a avoué : « Il n'a rien compris. Il a fait de l'interprétation et c'était faux ».

Si la chancelière allemande a, en effet, concédé que la Commission Européenne puisse emprunter au nom de l'Union, pour secourir des pays au bord de la faillite, comme l'Italie, elle a rejeté le principe de dette européenne, en insistant sur le caractère exceptionnel de cette action et sur les contreparties sévères que les États devront accepter, portant, notamment, sur l'âge de départ à la retraite.

Outre-Rhin, c'est l'union sacrée derrière la protection de la dette nationale. Le Ministre fédéral des finances et Vice-Chancelier, Olaf Scholz, appartient au SPD, le parti social-démocrate. Il est pourtant le leader allemand le plus sévère sur les eurobonds : Nein, c'est non! Le 31 mars dernier, il se rendait à Münich pour visiter le Ministre Président de la Bavière, membre de la CSU - le parti soeur de la CDU, dans ce Land catholique, historiquement autonome -, et rappelait, soutenu par son adversaire politique intérieur le plus acharné (la CSU est encore plus à Droite que la CDU, et le Ministre-Président Söder un concurrent de Scholz pour la chancellerie fédérale), que, jamais, l'Allemagne n'accepterait que l'on mutualise les dettes des pays de la zone euro. Et la déclaration franco-allemande est extrêmement claire : on ne mutualise pas les dettes nationales, mais l'UE va emprunter le temps de la crise et reverser aux régions et aux secteurs les plus touchés.

Le plan de relance de la Commission Européenne n'a pas encore été validé par le Conseil Européen, et la tâche s'annonce difficile. L'Autriche, le Danemark, les Pays-Bas et la Suède, alliés indéfectibles de l'Allemagne, ont déjà enterré les propositions phares. Il faudra également voir comment, à tête reposée, le Bundestag réagira. Il est encore trop tôt pour le savoir.

Une chose est sûre, l'euro ne résistera pas si ses troisième et quatrième économies s'effondrent, et Berlin a tout intérêt a empêché cela.

Dans les milieux intellectuels, on commence à reparler de l'histoire de l'union monétaire des deux Allemagne. A l'époque, Helmut Kohl était chancelier de la République fédérale et il voulait absolument que la réunification ait lieu sans délais, y compris au niveau monétaire. Après 41 ans de séparation et d'occupation soviétique, prendre son temps n'était pas une option. Le traité monétaire, signé le 18 mai 1990, seulement six mois après la chute du mur, établit un taux de conversion d'un Deutsche Mark pour un Ost Mark - alors qu'il était de cinq Ost Mark pour un Deutsche Mark, sur le marché noir - et ignorait totalement les recommandations de la banque fédérale et du Sachverständigenrat - le conseil fédéral des experts économiques -, qui préconisaient une solution par étape.

Les économistes allemands appelaient cela la « théorie du couronnement ». L'union monétaire devait être l'étape finale d'un processus de convergence économique entre les deux Allemagne. L'Allemagne de l'Est moderniserait d'abord son appareil productif en profitant des investissements de l'Ouest, puis un taux de change fixe entre l'Ost Mark et le Deutsche Mark serait défini, afin de conduire à l'union monétaire. Kohl s'est opposé à cette approche raisonnable, parce qu'il voulait rester dans l'Histoire comme l'homme qui a parachevé de A à Z la réunification de l'Allemagne. Les résultats furent dramatiques et l'Est, qui est devenu le fief de l'AFD, en paie encore les frais. (,,,)
Suite : VA

WWG1WGA vs. BLM

dimanche 7 juin 2020

Le débat politique - Emeutes raciales aux Etats-Unis : la contagion ?

DIVERSION, DIVISION, CULPABILISATION : LA GRANDE MANIPULATION DES MONDIALISTES

Belle démonstration des ravages mentaux provoqués par la culpabilisation collective dont le but caché est de nous faire avaler l'idéologie mondialiste au service des multinationales esclavagistes et de la haute finance globalisée.
Que penser d'une mère qui inflige cela à sa propre petite fille innocente ?


DIVERSION, DIVISION, CULPABILISATION : Florian Philippot, président des Patriotes, démonte les dernières manipulations médiatiques du pouvoir.

(Montage humoristique). Georges Soros n'est pas l'organisateur des manifestations BLM, mais celles-ci sont amplement promues par lui, les médias officiels du Système et toutes les multinationales (Apple, Nike, L'Oréal etc...) car elles servent leur projet mondialiste.



mercredi 3 juin 2020

Au Jeu de l'Oie de la crise , après nous avoir bien promenés éviteront-ils la case prison ?

Une militante de CGT malmenée et évacuée de la mobilisation pour Adama Traoré



Mauvaise surprise pour la CGT. Alors que la mobilisation qui exige « justice pour Adama Traoré » était plus nombreuse que jamais, les manifestants présents n’ont apprécié la présence d’une militante de la branche « Hôtels de prestige et économiques » du syndicat au sein de la mobilisation.

Virée manu militari par des activistes qui n'apprécient pas qu'on les filme, semble-t-il à la fin de la vidéo.

Pierre-Yves Rougeyron : Camélia Jordana, bécasse contre poulet