mercredi 31 juillet 2019
mardi 30 juillet 2019
Steve: "pas de lien" entre la police et la disparition [Edouard Philippe]
Steve: "pas de lien" entre la police et la disparition | AFP Extrait : LIEN
[MàJ] « Mes yeux me brûlaient, je suis aussi tombé dans la Loire à Nantes »
selon Jérémy Becue, « les gaz lacrymogènes sont partis. Alors que rien n’avait volé. Aucun projectile ». Le jeune homme en est persuadé : « Les policiers ont gazé sans sommation. » LIEN
Images inédites de l'intervention publiées par Libé :
lundi 29 juillet 2019
Climat : une pétition à contre-courant en Italie
Nous publions la pétition sur le climat préparée par le professeur Uberto Crescenti – Professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti ; il a été Recteur de l’Université G. d’Annunzio de 1985 à 1997, président de la Société italienne de géologie de 1999 à 2005, fondateur et président de l’Association italienne de géologie appliquée et d’environnement de 1999 à 2005, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme », et des scientifiques de renommée internationale, afin d’encourager un débat sérieux sur l’avenir de notre planète, fondé sur les connaissances scientifiques et sans contraintes politiques.
Traduction : Camille Veyres.
Au Président de la République
Au Président du Sénat
Au Président de la Chambre des députés
Au Président du Conseil
PÉTITION SUR LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ANTHROPIQUE
Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques. En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques. A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.
Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.
Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles.
C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement. De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.
L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.
Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée.
Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850.
La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.
Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années. Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [Il y a 8000 ans].
Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ. Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant.
Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.
Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.
Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.
Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris. S’il est vrai que le CO2 est un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine. Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.
Cette incertitude est énorme. Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au CO2 est nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.
Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours. Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées.
Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.
Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos. Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.
Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas. Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui.
Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique. Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .
En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.
6 juillet 2019 / Association des climato-réalistes (liste des signataires)
Traduction : Camille Veyres.
Au Président de la République
Au Président du Sénat
Au Président de la Chambre des députés
Au Président du Conseil
PÉTITION SUR LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ANTHROPIQUE
Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques. En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques. A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.
Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.
Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles.
C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement. De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.
L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.
Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée.
Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850.
La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.
Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années. Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [Il y a 8000 ans].
Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ. Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant.
Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.
Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.
Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.
Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris. S’il est vrai que le CO2 est un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine. Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.
Cette incertitude est énorme. Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au CO2 est nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.
Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours. Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées.
Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.
Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos. Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.
Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas. Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui.
Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique. Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .
En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.
6 juillet 2019 / Association des climato-réalistes (liste des signataires)
dimanche 28 juillet 2019
vendredi 26 juillet 2019
Le Kosovo, « un État mafieux non viable économiquement, politiquement, en plein cœur de l’Europe »
20 ans après la fin des combats, les relations sont exécrables entre Belgrade et Pristina ainsi qu’entre Serbes et Albanais. Xavier Moreau, fondateur du think tank Stratpol, spécialiste des relations soviéto-yougoslaves pendant la guerre froide, revient sur la situation explosive du Kosovo.
jeudi 25 juillet 2019
USA : Nos anciens alliés ? Arnaud Montebourg [EN DIRECT]
mercredi 24 juillet 2019
«Le complotisme des élites françaises est étonnant» selon Eric Verhaeghe
Entretien du 24/7/2019 avec Eric Verhaeghe, fondateur du Courrier des stratèges. Il était invité sur le plateau de RT France à commenter les propos du sénateur de l'Allier, Claude Malhuret. Lors d'échanges devant la commission de la Culture, de l'Education et de la Communication, le sénateur s'est étonné que RT France et Sputnik n'aient toujours pas été interdits.
Communiqué du SNJ-RT France suite aux propos du sénateur Claude Malhuret contre les journalistes de notre rédaction.#libertédelapresse #RTFrance pic.twitter.com/8VPBZAjpO6— SNJ RT France (@SNJ_RTFrance) July 24, 2019
Affaire Legay : le procureur de Nice a disculpé la police... pour ne pas embarrasser Emmanuel Macron
Ajouter une légende |
Il fallait éviter de mettre le président de la République en difficulté. Voilà, en substance, et selon les informations du Monde, comment le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre, s’est justifié auprès de sa hiérarchie d’avoir initialement dédouané les forces de l’ordre, trois jours après les graves blessures subies par Geneviève Legay, 73 ans, lors d’une charge policière pendant une manifestation interdite des « gilets jaunes », le 23 mars.
Parmi les différentes explications données par le magistrat dans le cadre de son audition demandée par le directeur des services judiciaires en avril, M. Prêtre a affirmé qu’il n’avait pas voulu mettre le chef de l’Etat dans l’embarras « avec des divergences trop importantes » entre les versions. Et ce, de sa propre initiative.
Le 25 mars, quelques heures avant la conférence de presse du parquet, Emmanuel Macron affirmait déjà que Geneviève Legay « n’[avait] pas été en contact avec les forces de l’ordre » dans le journal Nice-Matin. Un entretien où il souhaitait aussi « peut-être une forme de sagesse » à la septuagénaire, propos qui n’avaient pas manqué de créer une polémique. (...)
Suite : Le Monde
Entrevue avec l'avocat Régis de Castelnau :
François Boulo : "Le moment est venu"
François Boulo plaide pour une structuration du mouvement des Gilets Jaunes
mardi 23 juillet 2019
lundi 22 juillet 2019
Après la crise, nouvel ordre (ou désordre) monétaire international ?
Revenu de base mensuel, hélicoptère monétaire, crypto monnaies, fin du cash, big data et IA, Facebook crée une monnaie...
Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Vincent Held, économiste suisse pour son livre : Après la crise (Editions Réorganisation du monde)
dimanche 21 juillet 2019
samedi 20 juillet 2019
La disparition de la France
Barbara Lefebvre est enseignante d’histoire-géographie. Avec son dernier ouvrage, C’est ça la France (Albin Michel), l’auteur nous livre un constat accablant de la situation du pays, entre mépris de soi et communautarisme. Un essai qui tire la sonnette d’alarme pour d’urgence renouer avec la Patrie.
Le Samedi Politique TVL
vendredi 19 juillet 2019
Arnaud Montebourg : "l'Union européenne ne nous protège pas, elle nous met à nu !"
Arnaud @montebourg, sans concession au Sénat :— Critique de la Raison Européenne (@CRE_SciencesPo) July 19, 2019
"La France en a vu d'autres, c'est l’œuvre d'une génération à venir. Nous ne devons pas passer notre vie à dire que l'Union européenne nous protège ! Elle ne nous protège pas, elle nous met à nu !"
Cc : @FabienneVaulot pic.twitter.com/16Hhv7jcur
La maladie de Lyme a-t-elle été créée lors d’une expérience américaine ?
Les parlementaires américains soupçonnent que la maladie de Lyme a été créée par des chercheurs du Pentagone lors d’une expérience qui a mal tourné.
De forts soupçons pèsent sur l’armée américaine. Les militaires sont suspectés d’avoir fait des expériences sur les tiques entre 1950 et 1975 afin de les transformer en armes biologiques. En plus de cette question, les élus souhaitent savoir si l’un des tests a mal tourné et permis la propagation de la maladie de Lyme. Pour avoir des réponses, les membres de la Chambre des représentants ont approuvé un amendement demandant à l’Inspection générale un rapport sur ces expériences.
Forte hausse des cas de la maladie de Lyme en France
L’endémie de la maladie de Lyme est transmise par la piqûre des tiques contaminées par des bactéries vivant dans des zones tempérées, humides et boisées. Des millions d’humains sont infectés à travers le monde et souffrent par conséquent d’arthrite rhumatoïde juvénile.
En France, le nombre de cas a connu une forte croissance entre 2017 et 2018. Durant ce laps de temps, le nombre de cas pour 100 000 habitants est passé de 69 à 104 précise Ouest France.
Un laboratoire américain est particulièrement dans le viseur des élus, le « Plum Island Animal Disease Center » qui est situé à une quinzaine de km de la ville de Lyme, d’où la maladie tire son nom. Ce centre de recherche n’a ouvert à la presse ses recherches qu’à partir de 1992, le reste est tenu secret. En 2002, le contrôle du centre de recherche est passé du Département de l’Agriculture à celui du Département de la Sécurité intérieure (NHS).
Les expériences se poursuivent avec les moustiques alliés
En attendant les résultats de l’enquête parlementaire, les recherches militaires sur les insectes continuent aux États-Unis. « Plum Island Animal Disease Center » va fermer en 2023 mais les travaux qui y sont conduits se poursuivront à partir de mai 2021 dans un nouveau laboratoire installé dans le Kansas et baptisé « National Bio and Agro-Defense Facility (NBAF) ».
Malgré l’enquête, le Pentagone a amorcé un projet baptisé « Insect Allies » pour développer des espèces capables de combattre d’autres espèces invasives, voire introduites par des terroristes ou des États-voyoux précise le quotidien. La DRAPA (Defense Advanced Research Projects Agency) qui est directement mise en cause par les politiques affirme qu’« il ne s’agit nullement de créer une nouvelle arme bactériologique, nos buts sont pacifiques et visent à assurer la sécurité alimentaire nationale » et assure qu’aucun insecte ayant subi une expérience ne s’est échappé.
source
Entretien du 18/7/2019 avec Aymeric Monville, éditeur et écrivain. Invité du JT de RT France, il commente les récentes révélations sur le rôle qu'aurait joué, selon une ancienne scientifique, le Pentagone dans la propagation de la maladie de Lyme. La Chambre des représentants vient de demander l'ouverture d'une enquête portant sur des expériences qu'aurait menées la Défense américaine sur des insectes entre 1950 et 1975.
A lire aussi :
Un village empoisonné par la CIA ? - Pont-Saint-Esprit 1951 [Vidéo] : LIEN
jeudi 18 juillet 2019
mercredi 17 juillet 2019
Olivier Delamarche / Philippe Béchade : La répression financière. Gilets Jaunes...
Philippe Béchade et Olivier Delamarche expliquent comment la répression financière est mise en oeuvre pour réduire votre pouvoir d'achat.
J. Hogard, X. Moreau : la poudrière du Kosovo
Le Collectif pour la paix au Kosovo a invité TV Libertés pour une conférence sur la situation d'ultra violence qui règne sur ce territoire où les membres de la minorité serbe vivent un véritable enfer. Les responsables de l'association ont convié le colonel Jacques Hogard, ancien commandant des forces spéciales lors de la guerre de 1999, ainsi que Xavier Moreau, spécialiste de l'Europe de l'est.
mardi 16 juillet 2019
lundi 15 juillet 2019
dimanche 14 juillet 2019
14 juillet à Paris : Arrestation de Jérome Rodrigues et Maxime Nicolle en marge du défilé du 14 juillet [DIRECT]
On arrête des figures GJ sans aucun motif juridique alors qu'il n'y aucun rassemblement, juste parce qu'on est le 14 juillet ? |
Emmanuel Macron hué au début de son passage sur les Champs-Élysées : LIEN
Arrestation d'Eric Drouet lors du #14JuilletArrestation d'Eric Drouet lors du #14Juillet ! pic.twitter.com/9a6dJH3OLh— En Cause (@EnCausee) 14 juillet 2019
Un commissaire de police perd ses nerfs face à des GJ
(A suivre)
samedi 13 juillet 2019
vendredi 12 juillet 2019
jeudi 11 juillet 2019
mercredi 10 juillet 2019
L'Union Européenne : Un problème de souveraineté
C'est la première partie sur quatre des interventions lors de la conférence organisée par les gilets jaunes du Grand Est.
Quelle sont les liens que l'on peut faire entre la souveraineté économique et la souveraineté démocratique.
mardi 9 juillet 2019
USA : Le parc national des Glaciers supprime discrètement ses panneaux «disparus d'ici 2020»
CHUT !!! Le Service des parcs nationaux a discrètement supprimé tous les panneaux du parc national des Glaciers dans le Montana qui indiquaient aux visiteurs que les glaciers auraient «disparus» d'ici 2020 en raison du réchauffement climatique… car… nous sommes en 2019 et les glaciers sont toujours là et ont même grandi depuis 2010.
Selon des responsables fédéraux, plusieurs années consécutives de fortes chutes de neige et de températures froides ont totalement démenti un modèle informatique sur lequel les autorités se sont appuyées pour affirmer que les glaciers auraient tous fondus d'ici 2020.
Les panneaux, installés sous l’administration Obama, avertissaient les touristes que les glaciers «disparaîtront d’ici à 2020». Depuis, ils ont été remplacés par des panneaux affirmant encore que le changement climatique érode les glaciers, mais que les chercheurs ne peuvent pas prédire avec précision quand les glaciers du parc national des Glaciers vont disparaître.
"Quand ils disparaîtront complètement, cela dépendra du moment et de la manière dont nous agissons", indique maintenant le panneau.
Source
lundi 8 juillet 2019
Alstom : la France vendue à la découpe ? Frédéric Pierucci [EN DIRECT]
Thinkerview
A VOIR :
Autopsie d'une trahison d'état : Comment Emmanuel Macron a vendu Alstom aux américains : LIEN
Bill Clinton a refusé la protection des services secrets sur plusieurs vols «Lolita Express» de Jeffrey Epstein
Une enquête sur les carnets de vol officiels du "Lolita Express" du financier et pédophile condamné Jeffrey Epstein entraîne une fois de plus l’ancien président Bill Clinton sous le feu des projecteurs.
Les carnets de vol obtenus par Gawker en janvier 2015 placent M. Clinton dans le fameux avion à réaction du milliardaire plus d'une douzaine de fois - parfois avec une femme que les procureurs fédéraux soupçonnent d'avoir procuré des victimes sexuelles mineures à M. Epstein . Selon Fox News des informations montrent que M. Clinton a décliné la protection des services secrets pour au moins cinq vols.
L'enquête du réseau révèle que Bill Clinton a effectué 26 vols sur le Boeing 727 «Lolita Express», soit plus du double des 11 voyages précédemment signalés.
«Bill Clinton… est associé à un homme comme Jeffrey Epstein , qui, à New York, était notoirement un pédophile. Pourquoi un ancien président s'associerait-il avec un homme comme celui-ci? », A déclaré à Fox, Conchita Sarnoff, de l'ONG basée à Washington destinée à porter secours aux victimes de la traite des êtres humains. Mme Sarnoff a également écrit un livre sur Jeffrey Epstein intitulé «TrafficKing».
Epstein a été arrêté en 2005 et a signé un accord de plaidoyer en 2007 avec le bureau du procureur américain, acceptant une seule accusation de sollicitation de prostitution. Il a accepté une peine de 30 mois, enregistré comme délinquant sexuel de «premier niveau» aux Îles Vierges américaines et versé des fonds à des dizaines de jeunes filles en vertu d'une loi fédérale prévoyant l'indemnisation des victimes d'abus sexuels sur mineurs.
Selon Fox News, les services secrets américains ont refusé de répondre à de nombreuses demandes de la Freedom of Information Act sur ses voyages.
Washington Times
vendredi 5 juillet 2019
"Faut-il avoir peur de la politique ?" avec Emmanuel Todd
Depuis novembre 2018, notre pays a vécu les événements politiques les plus stupéfiants des 50 dernières années. Pourtant, la scène parlementaire traditionnelle n’a jamais été aussi dévitalisée. Aux dernières européennes, le RN et LREM ont mené la danse. Alors faut-il renoncer à la politique ? Est-il encore possible de la réformer ? Comment la refonder sur des bases populaires ?
Pour en discuter autour d'Aude Lancelin dans l'émission "Pas de quartier" : Emmanuel Todd, historien et démographe, Philippe de Veulle, avocat, cofondateur de Robes noires et gilets jaunes et Manon Le Bretton, enseignante, ex-candidate aux européennes de la France insoumise.
Pour soutenir QG, son développement et sa réussite, rendez-vous sur la page "QG le Média Libre" sur le site KissKissBankBank : LIEN
Capitalisme, la crise finale ? Par Michel Drac
Conférence autrement nommée "La vérité des prix".
Le Club du Mercredi recevait Michel Drac le Mercredi 29 Mai 2019.
Auteur de nombreux livres, dont "Voir Macron : 8 scénarios pour un quinquennat", Michel Drac nous a présenté ses travaux les plus récents sur la crise du capitalisme et le bouleversement des prix.
Le fonctionnement actuel des différentes banques centrales entraîne des changements sévères sur les marchés. Michel Drac dresse une analyse inédite, performante et percutante, nous interrogeant sur l'état du système libéral. Si tant est que ce dernier existe encore.
La conférence est suivie d'une séance de questions/réponses sur l'actualité, et notamment sur la crise des gilets jaunes.
jeudi 4 juillet 2019
Alexandre Langlois réagit à son exclusion de 12 mois : «C'est une sanction politique»
Entretien du 03/7/2019 avec Alexandre Langlois, gardien de la paix, patron du syndicat Vigi. Il était invité sur le plateau de RT France pour réagir à son exclusion de 12 mois (dont 6 mois avec sursis) pour avoir offensé sa hiérarchie.
mercredi 3 juillet 2019
Référendum ADP, le talon d’Achille de l’exécutif ? J. SAPIR
Si l’opinion publique semble majoritairement opposée à la privatisation d’ADP, la campagne de collecte des 4,7 millions de signatures de soutien au RIP s’annonce longue et opiniâtre. Dans la foulée des Gilets jaunes, pourrait-on voir émerger une mobilisation générale transpartisane, voire une amorce de refondation de notre espace démocratique ?
Russeurope Express
La plus violente attaque israélienne contre Damas depuis mai 2018, 16 morts
Maria Zakharova |
MOSCOU, le 2 juillet. / TASS /. Les frappes aériennes israéliennes sur la Syrie à la veille du 1er juillet, la plus violente attaque de l'année, suscitent de vives inquiétudes en Russie, a déclaré mardi la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.
"Nous sommes préoccupés par ces développements alarmants", a déclaré la porte-parole. "Leur escalade est extrêmement préoccupante. L'usage de la force, en violation flagrante de la souveraineté de la Syrie, empêche non seulement la normalisation de la situation dans le pays, mais porte aussi un potentiel de déstabilisation de la région, dans laquelle les intérêts de sécurité nationale d'aucun des États du Moyen-Orient ne sont assurés de manière fiable ", a commenté le diplomate.
Dans la soirée de lundi, des installations de défense aérienne syriennes ont repoussé une attaque au missile visant Damas et Homs. Selon l'agence de presse SANA, des avions de combat israéliens ont tiré des missiles depuis l'espace aérien du Liban.
Reuters a déclaré que les représentants des forces de défense israéliennes s'étaient abstenus de tout commentaire.
"Lionceaux du califat"
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Ce que nous montre le reportage de Channel 4 sur la brigade Farouk : LIEN
D'où venaient les 20 000 uniformes destinés à Daech interceptés en Espagne ? : LIEN
mardi 2 juillet 2019
Pierre Vermeren : "Les préoccupations climatiques sont un rideau de fumée"
A partir d’un passionnant essai de l’historien Pierre Vermeren (La France qui déclasse – Les Gilets jaunes, une jacquerie du XXIème siècle – Editions Tallandier, mai 2019) – les trois intervenants dialoguent sur les mécanismes, les responsabilités et les choix politiques qui ont désindustrialisé le pays, et souvent désertifié des pans entiers du territoire.
Ruptures
Russes ou Américains : qui a vraiment vaincu Hitler ?
En mai 1945, dans un sondage mené par l'Ifop, 57 % des Français considéraient que l'URSS était la nation qui avait le plus contribué à la défaite de l'Allemagne nazie. Soixante-dix ans plus tard, la courbe s'est prodigieusement inversée : les États-Unis arrivent désormais en tête avec 58 % des sondés ! Comment expliquer ce revirement, et surtout, qu'en est-il de la réalité historique ? Les Anglo-saxons ont-ils vraiment libéré la France et fait basculer le cours de la guerre ? Qui des Russes ou des Américains a fait tomber Hitler ?
Christopher Lannes
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Les députés du Brexit Party tournent le dos pendant l’hymne européen
Ce 2 juillet à Strasbourg, lors de la session inaugurale de la nouvelle législature du Parlement européen, les députés britanniques du Brexit Party (« Parti du Brexit ») se sont retournés lors de l'interprétation de l'hymne européen.
RT France
lundi 1 juillet 2019
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