samedi 25 décembre 2021

Dr Christian Vélot - Variants, recombinaisons : les risques de la vaccination de masse

La campagne « vaccinale » contre le Covid-19 a été lancée en France il y a tout juste un an. Pourtant, 2022 s’annonce sous les mêmes auspices que 2021. Le gouvernement agite les peurs en brandissant l’explosion de cas de contaminations, les médecins de plateaux TV annoncent toujours plus de patients en réanimation. Tous pointent un responsable importé d’Afrique du Sud : le variant Omicron. Le docteur Christian Vélot, généticien moléculaire, nous explique les conséquences de la vaccination sur le virus du SarsCov2. Des mutations aux recombinaisons virales, la vaccination de masse en période épidémique est-elle une solution rationnelle ?

Victime de CENSURE sanitaire ? Professeur Christian Perronne

vendredi 24 décembre 2021

65% des patients COVID dans les hôpitaux anglais ont été testés positifs APRÈS avoir été admis pour autre chose


 De nouveaux chiffres en provenance d'Angleterre montrent que 65% des personnes décrites comme des «patients COVID» n'ont été testées positives pour COVID qu'après avoir été admises à l'hôpital pour autre chose.

Citant des statistiques officielles du gouvernement, les chiffres sont contenus dans un rapport du Senior Health Reporter de MailOnline.

« Au cours des deux semaines précédant le 21 décembre, les hôpitaux d'Angleterre ont enregistré 563 nouveaux patients hospitalisés pour coronavirus – dont la majorité serait dus à Omicron maintenant que le variant est dominant dans le pays. »

« Mais seulement 197 (35%) étaient principalement traités pour Covid, les 366 (65%) restants n’étant testés positifs qu’après avoir été admis pour autre chose. »

Des experts ont déclaré au journal qu'il est important de faire la distinction entre les personnes qui entrent à l'hôpital en raison du COVID et celles qui sont testées positives après être entrées pour d'autres raisons afin de ne pas « effrayer » le gouvernement pour qu'il impose davantage de mesures de verrouillage.

À Londres, où les inquiétudes concernant un pic d'hospitalisations causées par Omicron sont invoquées pour justifier davantage de restrictions, le nombre est encore plus élevé , avec 70% des hospitalisations COVID diagnostiquées après que le patient avait déjà été admis pour d'autres affections.

Les chiffres soulignent une fois de plus comment les chiffres du Covid sont largement gonflés, non seulement pour les cas , mais aussi en termes de décès où de nombreuses personnes qui souffrent de nombreuses graves comorbidités ne meurent pas de Covid, mais sont comptés comme morts Covid de toute façon.

Un nombre important de ces personnes attrapent également le COVID à l'intérieur de l'hôpital au contact d'autres patients et membres du personnel.

Comme Allison Pearson l'a récemment noté, "Un test positif 8 jours après l'admission signifie que le patient a probablement attrapé le COVID à l'hôpital."

Le journaliste a également révélé comment seulement 5% des lits d'hôpitaux sont occupés par des patients COVID en Angleterre et que "l'occupation globale des hôpitaux s'élève actuellement à 89%", ce qui est un chiffre courant pour le NHS en hiver.

De tels chiffres sapent les arguments en faveur de nouvelles restrictions mais sont rarement mentionnés dans la couverture médiatique grand public.

Summit News (Trad. Bertrand Riviere)

Situation sanitaire en Suède : un vent de liberté

« Une monstruosité » : Florian Philippot dézingue la vaccination des enfants et le pass vaccinal

Après le pass sanitaire, le pass vaccinal ! Le gouvernement a décidé de passer à la vitesse supérieure niveau restrictions sanitaires. Dès le mois de janvier, les non-vaccinés n’auront plus accès aux restaurants, cinémas et autres stades de football. Une décision très critiquée par plusieurs politiques dont le président des Patriotes Florian Philippot. En pointe depuis plus d’un an de la mobilisation contre les choix des autorités pour lutter contre le Covid-19, il dénonce un gouvernement «devenu fou».

mardi 21 décembre 2021

Qu’arrive-t-il vraiment à Martin BLACHIER ?!

Des «mesures militaires» promises par Poutine

«Nous allons prendre des mesures militaires et techniques adéquates» en cas de «maintien de la ligne très clairement agressive» des États-Unis, a promis Vladimir Poutine lors d'une réunion au ministère de la Défense

COVID: Le début de la fin?

Des nouvelles encourageantes concernant le variant que fait trembler le monde et quelques réflexions sur la vaccination des enfants.

Gérald Kierzek - "Les non vaccinés sont les boucs émissaires de la crise de l'hôpital public !"

PASS VACCINAL : Florian Philippot réagit en direct

samedi 18 décembre 2021

Pass Vaccinal : un mois de janvier qui sera chaud !

Covid : 2 heures de vérité après 2 ans de mensonges !

Pour ce dernier "Samedi Politique" de l'année 2021, Elise Blaise reçoit quatre invités prestigieux, tous scientifiques : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN, le professeur Christian Perronne, infectiologue et ancien conseiller des gouvernements en matière de santé publique, Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur de l’IRSAN, et Laurent Montesino, médecin réanimateur, ainsi que la participation du généticien moléculaire, Christian Vélot et le témoignage de Marc Doyer, dont l’épouse, Mauricette, aurait contracté la maladie de Creutzfeld-Jakob après la deuxième injection du vaccin Pfizer. Au fil de ces deux heures d'émission, la stratégie du gouvernement et ses effets sont passés au crible pour expliquer pourquoi un an après le lancement de la campagne de vaccination, les pouvoirs publics et médiatiques continuent de faire peur aux Français. Manipulation des chiffres, prise en charge des patients malades du Covid, traitements interdits, vaccination massive et effets secondaires, conflits d’intérêts... tous les sujets que les médias refusent d’aborder avec honnêteté et sérieux sont traités ici, par des scientifiques et des praticiens de renom. Une émission de TVLibertés, que vous ne verrez pas ailleurs !

samedi 20 novembre 2021

Verdict historique aux Etats-Unis : Kyle Rittenhouse reconnu non coupable de tous les chefs d'accusation


Vendredi, un jury de Kenosha, dans le Wisconsin, a déclaré Kyle Rittenhouse, 18 ans, non coupable de toutes les accusations.

Le jury avait délibéré depuis mardi matin. Rittenhouse a été visiblement ému par l'annonce du verdict.

Rittenhouse avait fait face à deux accusations de meurtre, une accusation de tentative de meurtre et deux accusations de mise en danger imprudente liées à une mêlée près de minuit le 25 août 2020, lors des émeutes de Black Lives Matter dans la petite ville du Midwest.

Cette nuit-là, Rittenhouse et un groupe de volontaires armés gardaient un concessionnaire automobile qui avait été incendié la nuit précédente. Après que Rittenhouse ait éteint un incendie, il a été poursuivi par un émeutier nommé James Rosenbaum, qui a attrapé le fusil de style AR-15 de Rittenhouse. Rittenhouse a tiré quatre fois, touchant Rosenbaum et le blessant mortellement. Les coups de feu ont également presque touché le journaliste du Daily Caller, Richie McGinniss, qui couvrait les émeutes, bien qu'il n'ait finalement pas été blessé.

Une foule s'est ensuite lancée à sa poursuite alors que Rittenhouse tentait de fuir vers les policiers. Il a été frappé à la tête avec une pierre par un agresseur inconnu et a reçu un coup de pied au visage par quelqu'un appelé « Jump Kick Man », sur lequel Rittenhouse a ensuite tiré mais a raté. Un émeutier nommé Anthony Huber a ensuite frappé Rittenhouse à la tête et au cou avec un skate-board et a pris le fusil; Rittenhouse a tiré un coup de feu, le tuant. Un autre émeutier, Gaige Grosskreutz, qui était armé d'un pistolet, a levé les mains au-dessus de sa tête, puis a chargé Rittenhouse avec son arme pointée sur lui. Rittenhouse a tiré, blessant Grosskreutz au bras.

Les médias d'entreprise et les politiciens démocrates tels que le candidat de l'époque, Joe Biden, ont qualifié Rittenhouse de «suprémaciste blanc» et ont décrit la violence comme s'il avait entrepris de tuer des manifestants pacifiques de Black Lives Matter. L'accusation lors du procès a qualifié Rittenhouse de « tireur actif » et a fait valoir que la foule, pleine de « héros », avait été « tout à fait raisonnable » de le poursuivre.

La défense a fait valoir que Rittenhouse avait agi en état de légitime défense, dans une crainte raisonnable d'une mort imminente ou de lésions corporelles graves.

De plus, la défense avait plaidé à plusieurs reprises pour l'annulation du procès. Au cours du procès lui-même, la défense a déclaré que l'accusation avait enfreint les droits du cinquième amendement de Rittenhouse en commentant son silence après l'arrestation. Le procureur a également mentionné des éléments de preuve selon lesquels le juge avait expressément exclu le procès. Le juge Bruce Schroeder a accepté et a réprimandé le procureur, mais a autorisé la poursuite du procès, affirmant qu'il statuerait sur la requête en rejet plus tard. Plus tard, après le procès, pendant que le jury délibérait, la défense a déposé une autre requête en irrecevabilité, après que l'accusation eut utilisé une version haute définition d'une vidéo d'événements que la défense n'avait jamais vue ; la défense n'avait eu accès qu'à une version en basse définition de la même séquence.

vendredi 19 novembre 2021

Une mini-période glaciaire pourrait toucher la Terre à partir de 2030

Pour avancer cette hypothèse stupéfiante, l'organisme se base sur la mise au point d'un nouveau modèle des cycles solaires qui permet «des prédictions d'une précisions sans précédent». (Image d'illustration) SAUL LOEB/AFP

 D'après des scientifiques britanniques, le Soleil pourrait être confronté, dès 2030, à un phénomène appelé « minimum de Maunder ». Celui-ci pourrait provoquer une nette baisse des températures sur Terre.

La Terre va-t-elle connaître de nouveau un «petit âge glaciaire»? D'après une étude menée par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l'activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d'ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme de 1645 à 1715. Une période appelée «Minimum de Maunder», se traduisant par un nombre de taches solaires - de petites régions sombres où la température est plus basse que celle de son environnement - très faible.

Pour avancer cette hypothèse, l'organisme se base sur la mise au point d'un nouveau modèle des cycles solaires qui permet «des prédictions d'une précision sans précédent», commente l'organisme. Le modèle repose sur l'analyse de la circulation des champs magnétiques à l'intérieur et à la surface du Soleil, un phénomène appelé «effet dynamo».

«Nous avons remarqué que les deux vagues magnétiques qui circulent à l'intérieur du Soleil ont pour origine deux différentes couches de matière. Elles ont toutes deux une fréquence d'environ 11 années, même si elles sont légèrement différentes et sont parfois décalées. Au cours d'un cycle, les vagues fluctuent entre les hémisphères nord et sud du Soleil. En combinant les effets des vagues et en les comparant avec les données réelles du cycle du soleil, nos prévisions montrent une exactitude de 97%», a expliqué le professeur Valentina Zharkova, lors d'une présentation devant l'Assemblée nationale de l'astronomie à Llandudno, au nord du Pays de Galles.

Pour Etienne Parizot, professeur à l'université Paris Diderot et astrophysicien au laboratoire AstroParticule et Cosmologie (APC), cette découverte est à prendre avec des pincettes. «Ce nouveau modèle est intéressant puisque le groupe de scientifiques a manifestement identifié un niveau de complexité supérieur par rapport aux précédents modèles. Mais de là à prédire un petit âge glaciaire, restons prudents», commente-t-il. «L'étude du Soleil est une science complexe. L'activité magnétique a certes une incidence sur les rayons cosmiques, c'est certain. Mais est-ce que les rayons cosmiques ont une incidence sur le climat et les températures? C'est moins sûr, des expériences sont en cours à ce propos, et les résultats sont semi-concluants», explique l'astrophysicien.

Un minimum de Maunder d'ici quinze ans

Toutefois pour le groupe de scientifiques britanniques, les prochaines prévisions sont sans équivoque. «Lors du 26eme cycle, qui couvre la décennie 2030-2040, les deux vagues magnétiques seront complétement désynchronisées et cela va provoquer une réduction significative de l'activité solaire. Les deux champs magnétiques se reflèteront exactement. Il y aura un pic d'activité en même temps dans les deux hémisphères opposés (…). Nous prévoyons que cela va conduire à des propriétés d'un «minimum de Maunder», a déclaré Zharkova.

En 2014, la NASA alertait déjà sur la possibilité d'un tel phénomène mais avec beaucoup moins de certitude. Les scientifiques estimaient à 20% «la probabilité que les températures évoluent vers des ‘modifications majeures'», révélait Atlantico. «Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace» confiait Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory à la BBC, s'appuyant sur la nette diminution des taches solaires depuis 2011.

Le précédent «minimum de Maunder» remonte à la période de 1645 à 1715. A l'époque les hivers étaient tellement rudes que certains fleuves d'Europe, comme la Tamise ou bien la Seine, et d'Amériques avaient entièrement gelé. «Plusieurs peintures de l'époque montrent la Tamise gelée», raconte Etienne Parizot et ajoute: «Pendant plusieurs décennies les températures ont été plus froides que la moyenne». En France durant cette période, les températures pouvaient descendre jusqu'à -25°C.

Source : Le Figaro 

Voir aussi :

Climatosceptique "LA THÈSE OFFICIELLE? UNE FOUTAISE!" : LIEN

vendredi 15 octobre 2021

Emmanuel Todd : USA - Russie / l"amour vache


En attendant le retour des publications quotidiennes, une conférence sur les relations russo-américaines par Emmanuel Todd.

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/ Bertrand






mardi 12 octobre 2021

Zone de turbulences pour le Blogue, j'ai besoin de votre soutien...

Chers amis du Blogue Noir de Brocéliande,

Suite à de nouvelles restrictions infligées par la plateforme pour des publications jugées un peu trop "climato-sceptiques" qui s'ajoutent à des petits problèmes personnels, je me trouve obligé, et Dieu sait qui j'y répugne habituellement, de solliciter votre soutien. Si vous en avez la possibilité, et seulement dans ce cas, c'est important, votre soutien serait d'un grand secours pour la perpétuation de ce blog qui vous informe depuis maintenant 13 ans (!) quasiment sans discontinuer tous les jours même le dimanche.
Encore une fois, si et seulement si vous en avez les moyens (j'insiste sur ce point) 
Je vous remercie par avance, votre aide aussi modeste soit-elle, sera fort appréciée et m'apportera également un grand réconfort moral dans cette période un peu difficile pour moi.

Il suffit pour cela de cliquer sur le lien ci-dessous et d'utiliser Paypal ou une simple carte bleue (tout est sécurisé via Paypal)

PS : Le blog sera en pause quelque jours car je serai dans l'incapacité de publier mais je serai de retour le plus rapidement possible (dès lundi si tout va bien).

Encore merci à tous, les amis, et à très bientôt sur le Blogue Noir de Brocéliande !

/ Bertrand






jeudi 30 septembre 2021

La mise en place du Ministère de la vérité macroniste commence mal !




 Selon sa fiche Wikipedia, Gérald Bronner, le sociologue chargé de conduire pour Macron la mission « anti fake news » a été pris 2 fois en flagrant délit de…diffusion de fake news.


Anne-Sophie Chazaud - "La Macronie veut verrouiller par tous les moyens la liberté d’expression"

Un avocat proche de Clinton inculpé dans l’affaire d’ingérence russe dans la campagne de 2016

jeudi 16 septembre 2021

Boris Johnson et Joe Biden torpillent notre "contrat du siècle" (... AVEC L'AIDE DE L'ALLEMAGNE !)

mardi 14 septembre 2021

John Pilger : "Nous sommes noyés dans un tsunami de propagande, le terme "lavage de cerveau" n'est pas exagéré"

Dans La Grande Interview, Afshin Rattansi reçoit John Pilger, journaliste et réalisateur.  Ensemble ils reviennent sur la reprise du pouvoir par les Talibans en Afghanistan.

dimanche 29 août 2021

JOE BIDEN S'ENDORT DEVANT LE PREMIER MINISTRE ISRAÉLIEN

Avant-hier, s'est déroulée une entrevue de la plus haute importance entre le Premier Ministre Israélien et le 46ème président des Etats-Unis... 
Evidemment, les événements dramatiques survenus récemment en Afghanistan font planer sur le Moyen-Orient de très sérieuses menaces.
Autant dire que le très alerte président américain est on ne peut plus préoccupé par le sujet. Et on le comprend ! C'est donc d'une manière très enflammée qu'il s'est exprimé devant un Naftali Bennett littéralement subjugué...

La fin de Biden ?

mardi 17 août 2021

Alexis Poulin : «Illusoire de croire que la France va être un "game changer"» en Afghanistan


« En aucun cas vous ne verrez des gens être évacués du toit d’une ambassade… L’hypothèse que les talibans s’emparent de l’ensemble du pays est hautement improbable.»
Joe Biden, le 8 juillet 2021.

mardi 20 juillet 2021

GAFA: La trahison numérique

Alexis Cossette-Trudel analyse ce que cache la poursuite du Président Trump contre les géants de la technologie

lundi 5 juillet 2021

Alexis Cossette-Trudel : Que nous réserve le Forum Économique Mondial afin de faire avaler le Grand Reset aux peuples de la Terre?

Eolien - La belle illusion

vendredi 25 juin 2021

Éoliennes: du rêve aux réalités [le film]

Les éoliennes sont en quelques années devenues le symbole de la transition écologique. 
Quels enseignements politiques, sociaux, économiques et environnementaux peut-on tirer de leur multiplication ? Le rêve est-il en phase avec la réalité ? Professionnels, experts et riverains nous dévoilent les envers du décor. 

l’UE et Joe Biden montent en catimini un nouveau projet contre les peuples

samedi 19 juin 2021

ÉLECTIONS AMÉRICAINES 2020 : UN POINT SUR L’AUDIT DE MARICOPA EN ARIZONA



Vous le savez probablement, tous les républicains ont le regard tourné vers ce comté qui compte plus de 2 millions d’électeurs dans un des cinq états soupçonnés de fraude massive.

Les démocrates s’y intéressent de très (trop) près également même s’ils soutiennent le contraire.

Cet audit est de la plus haute importance pour les États-Unis mais également pour le reste du monde car il va largement conditionner les élections de mi-mandat prévues l’année prochaine. Et si les conservateurs reprennent le contrôle du congrès, il pourra alors être mis un terme à la politique désastreuse menée depuis quelques mois par l’aile gauche des démocrates tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur.

L'audit se poursuit donc à Phoenix et on peut même dire que le dépouillement est quasiment terminé. Il reste cependant à collecter et à regrouper les données avant qu’elles soient transmises aux sénateurs de l’état qui devront alors rédiger un rapport officiel.

La sénatrice en charge des opérations sur place a évoqué la date du 26 juin prochain.

Il convient cependant d’être prudent car les pressions (corruptions, intimidations, harcèlement…) exercées sur les parties prenantes sont redoutables.

Si la mission parvient à son terme et si les résultats sont aussi édifiants qu’il se murmure dans le stadium, on devra alors s’attendre à un tir de boulets rouges des démocrates qui tenteront de les discréditer autant qu’il leur sera possible.

Leur tâche sera néanmoins difficile sachant que les organisateurs ont pris mille précautions. Ainsi chaque table de recomptage est filmée 24h/24 et 7j/7 depuis le début et les vidéos sont accessibles à tous en temps réel ainsi qu’en streaming.

Signalons aussi que des agents démocrates et le Secrétaire d’état surveillent les tables de scrutin en double.

Ce processus de recomptage passe également par une multitudes de contrôles qui en assurent la transparence, la rigueur et l’exhaustivité.

A tel point d’ailleurs que d’autres états ont envoyé ces derniers jours des délégations de sénateurs chargés de prendre connaissance des modalités techniques de l’audit afin de les reproduire à domicile.

A ce jour, on peut ainsi compter 17 états à s’être déplacés pour visiter le Veterans Memorial Coliseum à Phoenix qui abrite un véritable travail de fourmis.

Cette opération est capitale car il est absolument crucial de restaurer l’intégrité du processus électoral avant novembre 2022. Ce qui s’est passé durant la nuit du 3 ou 4 novembre 2020 ne doit plus jamais se reproduire. C’est une honte sans nom pour un pays dont on a dit qu’il est le berceau de la démocratie.

Marc Amblard


"Trump a gagné" : Des banderoles géantes apparaissent mystérieusement dans plusieurs endroits des Etats-Unis...

La télé australienne crève l'abcès en direct - Fauci, Daszak, Zhengli

lundi 7 juin 2021

Trump : je ne sape pas la démocratie américaine ; « Je suis celui qui essaie de la sauver »

le président Donald Trump prononce un discours

Donald Trump (Chris Seward/AP)

Réprimandant l'effondrement de l'Amérique sous le président Joe Biden, l'ancien président Donald Trump a riposté aux médias suggérant qu'il tentait de « saper la démocratie américaine », déclarant avec défi : « Je suis celui qui essaie de la sauver ».

"Ils veulent vous faire taire; ils veulent faire taire votre voix", a déclaré Trump samedi soir à la convention du Parti républicain de Caroline du Nord dans un discours décapant.

"Rappelez-vous, je ne suis pas celui qui essaie de saper la démocratie américaine. Je suis celui qui essaie de la sauver. Veuillez vous en souvenir."

Trump a appelé à des mesures d'intégrité électorale, y compris la vérification de la signature, l'identification des électeurs et la réglementation du financement des GAFA, comme les centaines de millions versés par le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg pour les boîtes de dépôt des votes par correspondance lors de la dernière élection présidentielle.

"Nous savons tous ce qui s'est passé avec les élections, et nous ne pourrons jamais, jamais laisser cela se reproduire", a déclaré Trump.

Trump a déclaré que l'Amérique sous Biden se dirigeait vers une dictature, bien qu'il se soit moqué du président actuel pour ne même pas en être le vrai responsable.

"Nous n'aurons pas de pays si vous n'avez pas d'intégrité électorale, et si vous n'avez pas de frontières solides, notre pays peut être dirigé comme une dictature, et c'est ce qu'ils aimeraient faire", a déclaré Trump.  "Je ne pense même pas que Biden soit le dictateur."

« Si quelqu'un sait qui diable dirige cette opération, pourriez-vous nous le faire savoir ? Parce que je ne pense pas que ce soit Joe. Mais qui diable sait ? Peut-être que oui.

Le discours de marque Trump a commencé par un vœu de faire du Parti républicain son principal soutien en 2022.

"C'est formidable d'être de retour à Greenville, avec autant de fiers patriotes de Caroline du Nord qui aiment notre pays, soutiennent nos militaires, respectent notre police, honorent notre drapeau et font toujours passer l'Amérique en premier", a commencé Trump. "Nous ne plaçons pas l'Amérique au deuxième rang. Alors que nous nous réunissons ce soir, notre pays est détruit sous nos propres yeux. Le crime explose. Les services de police sont déchirés et ne sont plus financés.

"Pouvez-vous croire ça?"

Trump a déploré les mauvaises politiques de l'administration Biden que les Américains commencent à accepter comme la nouvelle norme.

« En parlant de nos dirigeants : ils se prosternent devant la Chine ; l'Amérique est rabaissée et humiliée sur la scène mondiale ; notre liberté est dépassée par la culture d'annulation [Cancel culture] de la gauche ; et l'administration Biden pousse les théories raciales toxiques et la discrimination illégale dans les écoles de nos enfants », a déclaré Trump.

« Maintenant, vous me dites : nous prenons ceci ? »

Trump a dénoncé les violentes manifestations qui ont secoué les villes américaines en 2020, ainsi que les démocrates qui "se serrent les coudes".

"Ils sont violents, dans de nombreux cas, détestent notre pays, et ils ont une mauvaise politique maintenant", a poursuivi Trump. "Mauvaises nouvelles. De notre point de vue, ils restent ensemble. Ils n'ont pas certaines des personnes comme nous. Là où ils vont seuls, et ils font ce qu'ils ont pour rester ensemble. Et c'est la seule chose qu'ils ont Ils se serrent les coudes, mais leur politique est si mauvaise.

"Et nous allons avoir une formidable année 2022, comme nous l'avons fait – franchement 2020 pensez-y : plus de voix que n'importe quel président en exercice dans l'histoire des États-Unis de loin – nous avons eu une excellente élection. eu une excellente élection."

Dans une vidéo publiée samedi, Trump a remercié ses partisans et a annoncé un retour du GOP à la Maison Blanche "plus tôt que vous ne le pensez".

"Nous allons reprendre le Sénat, nous allons reprendre la Chambre, et nous allons reprendre la Maison Blanche plus tôt que vous ne le pensez", a déclaré Trump dans une vidéo circulant sur Twitter avant son discours en Caroline du Nord. Discours de la conférence GOP samedi soir.

"Ça va être vraiment quelque chose de spécial. Mais l'amour, l'affection et le respect que vous nous avez tous donnés, c'est vraiment important.

"Le Parti républicain est plus fort qu'il ne l'a jamais été, et il va être beaucoup plus fort qu'il ne l'est en ce moment."

Malgré les rumeurs sur les réseaux sociaux, selon lesquelles l'ancien président parlerait d'un retour en août à la Maison Blanche, des conseillers et des proches du président ont nié cette rumeur.

Des audits électoraux sont menés en Arizona et pourraient démarrer en Pennsylvanie, des champs de bataille clés qui sont allés au président Joe Biden, mais la vidéo de Trump n'a pas mentionné la fraude électorale ni les audits avant son allocution prévue au GOP en Caroline du Nord, un État qu'il a remporté par environ 70 000 voix en novembre dernier.

"Nous allons le renverser; nous allons le renverser rapidement", a conclu Trump dans la vidéo. "Merci beaucoup à tous. Ce soutien a été incroyable. Merci."

mercredi 26 mai 2021

CEDH et réseau George SOROS : en sortir d’urgence !

Joe Biden lâche du lest à Vladimir Poutine pour faire plaisir à Merkel



Ceux qui reprochaient à Trump sa versatilité pourront faire le même compliment à Biden. Après avoir traité Poutine de « tueur » devant la télévision américaine (tout de même du jamais-vu), le nouveau président vient d’envoyer son secrétaire d’État Antony Blinken discuter avec Sergueï Lavrov, l’inamovible ministre des Affaires étrangères russe.

La rencontre a eu lieu à Reykjavik, le 19 mai, en marge du Conseil de l’Arctique, a duré deux heures et semble avoir été fructueuse. Ainsi, un sommet entre Joe Biden et Vladimir Poutine est en préparation et pourrait se tenir, mi-juin, quelque part en Europe. Les deux hommes en ont longuement parlé et semblent d’accord sur le principe même de ce sommet : « Nous sommes prêts à discuter de toutes les questions, sans exception, à condition que la discussion soit honnête, avec les faits sur la table et qu’elle se fonde sur un respect mutuel », a déclaré Lavrov.

Antony Blinken ne l’a pas démenti : « Si les dirigeants de la Russie et des États-Unis peuvent travailler en coopérant, le monde sera plus sûr. » Tout en ajoutant : « Si la Russie se comporte de manière agressive contre nous, nos partenaires ou nos alliés, nous répondrons. » Si les Américains n’assortissaient pas leurs discussions avec les Russes de menaces, ce ne seraient plus les Américains. 

En signe d’apparente bonne volonté, les Américains ont fait une concession inattendue et ont, finalement, décidé de « ne pas sanctionner l’entreprise chargée de superviser le gazoduc Nord Stream 2 ». Quand on connaît la farouche opposition de l’Amérique à ce projet qui renforcerait la position dominante du gaz russe en Europe, cette décision peut paraître surprenante. Trump était obsédé par Nord Stream 2 et avait multiplié sanctions et menaces contre les entreprises européennes coupables d’y participer.

Les Européens, Français en tête, s’étaient couchés, sauf les Allemands. Toute la classe politique allemande avait protesté et rappelé sèchement que la politique énergétique européenne se décidait en Europe et non à Washington. Seuls les Verts, bien sûr, avaient approuvé les Américains.

Si Biden a ainsi lâché du lest, ce n’est en réalité pas pour donner un gage à Poutine avant la rencontre de juin, ni parce qu’il a pris acte du coût exorbitant du gaz américain par rapport au gaz russe. Le seul but est de renouer une relation apaisée avec l’Allemagne qui tient à ce projet pour des raisons purement économiques. Le pragmatisme allemand a parfois quelque chose de rassurant par rapport à la diplomatie du sentiment, si à la mode en France et si néfaste à nos intérêts.

C’est dire si la réconciliation avec l’Allemagne est importante pour les États-Unis. Permettre la fin du chantier de Nord Stream 2, sauf retournement, est une concession majeure.

Mais en réalité, d’autres enjeux apparaissent vite derrière ces décisions : la relation de l’Europe avec la Chine, et le nouveau terrain de jeu de l’Arctique où Russes et Américains vont devoir discuter ferme. Nous aurons l’occasion d’y revenir.