samedi 21 décembre 2024
Avec Macron, la France est redevenue ingouvernable – Pierre De Gaulle
jeudi 19 décembre 2024
mercredi 18 décembre 2024
Meyssan passe à table sur le régime de Bachar El-Assad
mardi 17 décembre 2024
Les mémoires de Merkel révèlent les vraies intentions de la Russie pour l'Ukraine
lundi 16 décembre 2024
dimanche 15 décembre 2024
Ukraine, Proche-Orient : une révolution mondiale ? – Alain Juillet
samedi 14 décembre 2024
Mon pays, ce n'est pas un pays
vendredi 13 décembre 2024
jeudi 12 décembre 2024
Graham Fuller (ex-agent de la CIA) : La russophobie aveugle la politique étrangère américaine
mercredi 11 décembre 2024
L'Occident s'autodétruit en Syrie, la Russie ne tombe pas dans le piège !
mardi 10 décembre 2024
Roumanie : L'appel au secours de Călin Georgescu pour la démocratie
If romanian democracy falls, the entire world democratic system is at risk. Romania is part of EU, NATO and is one of the most important allies of the US in the Eastern Europe. If international community just stays indiferrent and enjoys the horrible political show that is… pic.twitter.com/CG07hp008w
— Călin Georgescu OFFICIAL ACCOUNT (@CG_Romania) December 10, 2024
Călin Georgescu :
Si la démocratie roumaine tombe, c’est tout le système démocratique mondial qui est en danger. La Roumanie fait partie de l’UE, de l’OTAN et est l’un des plus importants alliés des États-Unis en Europe de l’Est. Si la communauté internationale reste indifférente et apprécie le spectacle politique horrible qui se joue actuellement en Roumanie, cela mènera à un précédent juridique international où une cour constitutionnelle retirera le pouvoir de vote au peuple et le donnera toujours aux politiciens. Ce sera la fin de la démocratie telle que nous la connaissons, dans le monde entier.
UE, est-ce que vous regardez ?
Est-ce que vous écoutez ?
lundi 9 décembre 2024
dimanche 8 décembre 2024
samedi 7 décembre 2024
vendredi 6 décembre 2024
L'entrevue intégrale de Serguei Lavrov par Tucker Carlson (VOSTFR)
🎙 Entretien du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à l'observateur américain Tucker Carlson (Moscou, 6 décembre 2024)
— Brainless Partisans 🏴☠️☢️☣️🪆 (@BPartisans) December 6, 2024
Points clés
• Officiellement, nous [avec les États-Unis] ne sommes pas en guerre. Certains qualifient ce qui se passe en Ukraine de guerre… pic.twitter.com/W3NLYn0UBs
Le ministre russe des Affaires étrangères de longue date décrit la guerre avec les États-Unis et comment y mettre fin.
jeudi 5 décembre 2024
mercredi 4 décembre 2024
mardi 3 décembre 2024
ALEXANDRE ORLOV : "LES EUROPÉENS JOUENT CONTRE LEURS PROPRES INTÉRÊTS"
Géorgie, Roumanie : l'Etat profond américain derrière les révoltes
BRICS+ : la guerre froide avec Donald Trump ? - Jacques Sapir
lundi 2 décembre 2024
samedi 30 novembre 2024
En UKRAINE, DÉFAITE de l'OCCIDENT et RETOUR de la PUISSANCE RUSSE ? - David Teurtrie
Géorgie : Maidan 2.0* en préparation (*coup d'état "à l'ukrainienne")
vendredi 29 novembre 2024
jeudi 28 novembre 2024
mercredi 27 novembre 2024
mardi 26 novembre 2024
Ukraine/Russie : l’escalade avant l’arrivée de Trump ?
lundi 25 novembre 2024
dimanche 24 novembre 2024
samedi 23 novembre 2024
USA - UN PEU DE RECUL SUR L’ÉCHEC DU PARTI DÉMOCRATE
Au départ, il y eut ce coup d’état électoral durant la nuit du 3 au 4 novembre 2020. La fraude manifeste et largement prouvée depuis, n’a pas permis d’apporter au parti démocrate la majorité confortable espérée. Dès lors, celui-ci a cru bon par opportunisme de s’agenouiller devant sa faction d’extrême gauche.
Aussi, durant le mandat de Biden, c’est une succession de lois perverses et contre nature qui ont été votées afin de satisfaire l’aile ultra-progressiste du parti : transgenrisme, démantèlement de la famille, ouverture des frontières, définancement de la police, mesures sanitaires anti-science et liberticides, censure des médias et des réseaux sociaux… Rien de tel finalement pour se couper peu à peu de sa base électorale.
Ce fut là, la première erreur qui balisa le chemin de la victoire des conservateurs quatre ans plus tard.
La seconde erreur fut de transformer le D.O.J. (Ministère de la justice) en outil de persécution à l’encontre du candidat Donald Trump. Plus l’étau judiciaire se resserrait et plus il gagnait en soutien auprès du peuple américain qui fit de lui la victime et le héros de la lutte contre l’état profond.
La troisième erreur consista à attendre la dernière ligne droite pour écarter le candidat Biden, pourtant victorieux des primaires démocrates. Si son départ était parfaitement légitime en raison de ses capacités cognitives largement altérées, le parti aurait dû négocier son départ bien plus tôt. A quatre mois seulement du scrutin présidentiel, la manœuvre était très maladroite et prît tout le monde de court.
La quatrième erreur, directement liée à la précédente, fut fatale. En poussant le vieux Joe hors des clous, celui-ci s’est habilement vengé contre ses conspirateurs (Obama, Pelosi et Schumer) en soutenant officiellement Kamala Harris le jour-même (21 juillet) où il annonça son retrait.
Kamala, sotte et inconsistante, fut totalement incapable d’assumer une campagne digne de ce nom. Elle n’est jamais parvenue à séduire les américains qui n’ont pas été dupes.
La 5ème erreur commise par les démocrates (ce fut également la mienne) a été de croire qu’en manipulant de manière colossale le vote par correspondance, ils avaient réussi à mettre en place un moyen infaillible pour garantir l’échec de leur adversaire. Leur grande confiance dans l’ingénierie électorale conçue à coups de centaines de millions de dollars les a rendus aveugles devant la montée irrésistible de Donald Trump, de surcroît excellent communiquant.
Le “Too big to rig” fut tel que l’ancien président gagna avec une avance aussi spectaculaire qu’inattendue : 58% des grands électeurs (qui le propulseront à la Maison blanche dans quelques semaines) mais également le contrôle du Sénat et celui de la Chambre. Le tiercé parfait.
Les élites démocrates n’ont rien vu venir. Elles se sont pris un train à grande vitesse en pleine face et ne s’en sont toujours pas remises. Puissent-elles faire l’analyse des erreurs ci-dessus mentionnées et comprendre qu’elles ont contribué dramatiquement à se couper de leurs soutiens historiques : la classe ouvrière et les minorités ethniques. Le parti démocrate est devenu celui de la classe dirigeante et des élites autoproclamées. Quel échec.
Elles vont devoir apprendre qu’on ne peut durablement gouverner contre les intérêts du peuple. Tôt ou tard, celui-ci vous le fait toujours payer. Par les urnes ou par les armes.
Marc Amblard – 23.11.2024
Ukraine : la bascule stratégique de Poutine ? – Hervé Carresse
Les cinglés du New York Times tentent de dénigrer Tulsi Gabbard
.
vendredi 22 novembre 2024
L'Inde défie l'Occident collectif - Ambassadeur Bhadrakumar
jeudi 21 novembre 2024
Ces images de Biden hier soir – mon Dieu.
— Brainless Partisans 🏴☠️☢️☣️🪆 (@BPartisans) November 20, 2024
Ce type est complètement cramé. pic.twitter.com/TkN2QEc0g3
Les dernières actualités de la guerre en Ukraine
JEFFREY SACHS : "Il est très important de comprendre que la Seconde Guerre mondiale ne s'est jamais terminée par un traité, et je pense que les États-Unis en sont responsables."
La raison pour laquelle elle ne s'est jamais terminée par un traité est que l'Union soviétique a dit : 'L'Allemagne a tué 27 millions de nos citoyens ; nous voulons que l'Allemagne soit désarmée et neutre.'
Bien sûr, l'Allemagne elle-même a été divisée en zones d'occupation à la fin de la guerre en 1945.
Les États-Unis ont immédiatement conclu, à l'été 1945, que la prochaine guerre serait avec l'Union soviétique.
Plutôt que de conclure un accord de paix pour mettre fin à la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis, avec les zones d'occupation britannique et française, ont fusionné, formé la République fédérale d'Allemagne et réarmé l'Allemagne.
Au fait, il est vrai qu'ils ont réinstallé beaucoup d'anciens nazis à la tête des industries d'armement, et quelques années plus tard, l'Allemagne a rejoint l'OTAN.
Cela a, bien sûr, été à la fois une offense et une menace pour l'Union soviétique.
L'OTAN n'a jamais été considérée comme une force défensive.
L'Union soviétique voyait l'OTAN comme le prochain front d'une guerre occidentale continue contre elle.
Il y a eu des périodes de détente, par exemple avec Nixon, et des périodes de tension, mais il n'y a jamais eu de fin à la Seconde Guerre mondiale sur la base d'un traité.
Lorsque Mikhaïl Gorbatchev a dit : 'Je voulais mettre fin à la guerre froide' – et soyez sûr, il a mis fin à la guerre froide – il l'a fait pacifiquement.
Cela doit être rappelé : ce n'était pas une victoire américaine.
Mikhaïl Gorbatchev a dit : 'Je voulais que les murs tombent.' Bien sûr, Reagan voulait le faire pacifiquement avec Gorbatchev, mais c'était l'initiative de Gorbatchev.
J'ai observé beaucoup de cela de près, en Europe centrale et orientale, en tant que conseiller économique des chefs de gouvernement impliqués.
Immédiatement, la question de la réunification allemande est apparue.
Dans ce contexte, il devait y avoir un accord entre l'Ouest et l'Union soviétique pour mettre fin légalement à l'occupation de l'Allemagne.
La réunification allemande était un événement légal qui était essentiellement la fin de la Seconde Guerre mondiale : il fallait l'assentiment soviétique.
Que dirent les États-Unis et l'Allemagne à l'Union soviétique pour obtenir cet assentiment ? Ce n'était pas ambigu ; ce n'était pas flou.
Ils dirent, sans équivoque, 'Nous aurons la réunification allemande, et l'OTAN ne bougera pas d'un pouce vers l'est.'
Ce furent les mots utilisés par le secrétaire d'État américain James Baker III directement à Mikhaïl Gorbatchev le 9 février 1990.
Hans-Dietrich Genscher – sur une bande que vous pouvez écouter – a dit : 'Quand nous disons que nous ne bougerons pas, nous ne voulons pas dire seulement à l'intérieur de l'Allemagne ; nous voulons dire n'importe où à l'est.'
C'est si clair.
Bien sûr, l'Amérique triche. Veuillez comprendre cela : l'Amérique est une grande puissance. Elle triche. Elle essaie de faire ce qu'elle peut. Elle utilise les médias et la propagande pour se tirer d'affaire – c'est ce que font les grandes puissances, n'en doutez pas.
Quelques années plus tard, les États-Unis ont prétendu : 'Oh, nous n'avons jamais promis cela.' Vous pouvez simplement le lire dans la documentation, qui est disponible en ligne dans les Archives de la sécurité nationale de l'Université George Washington.
Donc, en 1994, sous Bill Clinton, les États-Unis ont triché.
Ils ont adopté un plan : l'OTAN s'étendrait vers l'est. Et, au fait, pas seulement vers l'est de 100 km ou 300 km, mais continuer vers l'est – jusqu'à l'Ukraine, jusqu'à la Géorgie, rappelez-vous.
Ils voulaient aller encore plus loin. Je suis sûr qu'un fou aux États-Unis a dit : 'Pourquoi pas le Kazakhstan ? Pourquoi pas l'Ouzbékistan ? Pourquoi pas l'Arménie ?'
Leur idée en 1990 – je le sais – était : 'Nous avons gagné !'
Surtout en décembre 1991, lorsque l'Union soviétique a pris fin, les 'stratèges' américains – si vous pouvez les appeler ainsi ; c'est une sorte d'euphémisme car ils ne sont guère doués en stratégie – ont dit : 'Nous sommes seuls. Nous sommes le pays le plus puissant de l'histoire du monde. Nous sommes plus puissants que l'Empire romain. Nous sommes la seule superpuissance mondiale. Nous pouvons faire ce que nous voulons.'
Voilà l'état d'esprit, et la tricherie va de pair avec cet état d'esprit – l'arrogance du pouvoir.
Donc, pour faire court : oui, les États-Unis ont commencé à s'étendre.
Zbigniew Brzezinski, l'un de ces stratèges, a expliqué très clairement en 1997, dans son livre *The Grand Chessboard*, pourquoi la Russie serait incapable de résister.
Dans un chapitre méticuleusement élaboré, il a posé la question : Que se passerait-il si les États-Unis poussaient l'OTAN ? Que se passerait-il si l'Europe continuait de s'étendre vers l'est, de serrer la Russie, de l'entourer – que pourrait faire la Russie ?
Brzezinski s'est demandé si la Russie pourrait résister ou si elle devrait céder, et il a conclu que la Russie n'aurait pas d'autre choix.
Il est arrivé à la conclusion, par exemple, que la Russie ne formerait jamais une alliance avec la Chine. Il a également conclu que la Russie ne formerait jamais une alliance avec l'Iran.
Vous savez, d'accord, théoriciens – c'est jouer à des jeux.
Il a comparé le monde à un échiquier.
Au fait, le monde n'est pas un échiquier ; ce n'est pas un jeu de poker. Ce sont les vraies vies de huit milliards de personnes.
Les stratèges américains sont formés à la théorie des jeux, ce qui, en soi, dans son nom, révèle tout.
Ils traitent le monde comme un jeu – bluff, relance, appel – comme si c'était une partie de poker.
Et vous savez quoi ? Ils ont utilisé la vie des autres pour le faire.
Ils ont augmenté les enjeux avec Poutine : 'Nous relançons.'
Mais sur qui pariaient-ils à la table ? Sur les vies ukrainiennes. Hein, pas un bon spectacle.
mercredi 20 novembre 2024
mardi 19 novembre 2024
TRUMP, GÉNIE DE LA COM
Attention, je ne soutiens pas que sa victoire lors des présidentielles du 5 novembre est le bénéfice exclusif d’une campagne de communication mais il est indéniable qu’elle y a contribué (et c’est tout à son honneur).
Voici quatre exemples notables qui devraient figurer dans les manuels de marketing :
1. Le Mug shot
Alors qu’il faisait face à une série d’inculpations relevant plus du harcèlement judiciaire à des fins politiques que de la vraie justice, Trump a eu l’idée de sortir son « mug shot » c’est-à-dire, sa photo d’inculpé imprimée sur des tasses vendues à des dizaines de milliers d’exemplaires. Avec pour effet positif et immédiat de faire de lui le martyr de l’état profond.
2. L’oreille
le 13 juillet, à Butler, en Pennsylvanie, Trump fut victime d’une tentative d’assassinat où il s’en fallu de deux centimètres qu’il ne perde la vie. Lors de réunions qui ont suivi le tragique évènement, Trump décida d’arborer fièrement une grosse compresse sur son oreille blessée. L’image marqua les médias et surtout ses supporters chrétiens dont certains y virent un miracle divin : épargner l’homme providentiel chargé de sauver l’Amérique.
3. Mac Donalds
Début septembre, Kamala Harris en déplacement pré-électoral a prétendu avoir travaillé chez Mc Donald’s sans jamais en apporter la preuve. Donald Trump saisit alors la balle au bond avec humour en enfilant le célèbre tablier de l’enseigne. On le vit alors dans une vidéo devenue virale remplir des cornets de frites et les servir aux clients d’un drive-in. Il fallait y penser.
4. La benne à ordure
Le 29 octobre, soit quelques jours avant l’ultime scrutin, le président sortant Joe Biden, alors en déplacement à Puerto Rico insultait plus de la moitié des américains en les traitant « d’ordures ». Bingo ! Quelques jours plus tard, le candidat milliardaire endossait un gilet d’éboueur et se faisait photographier au volant d’une benne à ordure. La photo fit le tour du monde avec l’effet qu’on peut imaginer. Chapeau.
Bref, qu’on l’aime ou qu’on le déteste, il faut au moins reconnaitre cette qualité à Trump : ce phénomène est un opportuniste génial de la communication décalée, de la phrase choc et de l’image qui percute.
Certes, ça ne fait pas tout mais ça aide sacrément car c’est une façon de dire aux millions d’américains : je suis avec vous contrairement à ceux qui se prétendent pourtant démocrates. Et à travers les ignominies et les attaques qu’ils m’assènent, c’est vous en réalité qu’ils visent. Ça a fonctionné.
Marc Amblard
lundi 18 novembre 2024
samedi 16 novembre 2024
Ukraine, Trump, Energie : l’UE et la France à l’agonie ? – Thierry Mariani
vendredi 15 novembre 2024
La Russie a gagné la guerre. Mais peut-elle gagner la paix ?
jeudi 14 novembre 2024
mercredi 13 novembre 2024
RUSSIE-OCCIDENT : CETTE GUERRE ÉTAIT PLANIFIÉE DEPUIS LE DÉBUT !
Tulsi Gabbard parle de Donald Trump et des élections avec Greg Gutfeld (Fox News)
mardi 12 novembre 2024
Tulsi Gabbard : Mon rôle dans la transition du président Donald Trump vers la Maison Blanche
lundi 11 novembre 2024
dimanche 10 novembre 2024
Le Premier ministre géorgien remet Scholz à sa place
« La coalition d’Olaf Scholz s’est effondrée et des élections anticipées seront bientôt convoquées. Il y a une crise économique et politique dans le pays. Je pense que le Chancelier devrait prêter davantage attention à ses propres problèmes plutôt que de faire des déclarations sur des sujets géorgiens. Je ne sais pas comment il a trouvé du temps pour la Géorgie avec ses problèmes" a déclaré Irakli Kobakhidze après les déclarations du Chancelier allemand qui s'apparentent clairement à de l'ingérence politique dans les affaires intérieures de Géorgie.
samedi 9 novembre 2024
Une nouvelle série télévisée expose le plan visant à éliminer Trump
vendredi 8 novembre 2024
KOURSK, EN IMMERSION EXCLUSIVE AU COEUR DE LA CONTRE-OFFENSIVE RUSSE
Tulsi Gabbard : Les médias n'ont tiré aucune leçon du résultat des élections
A peine élu, Trump provoque déjà des dissonances cognitives en chaîne dans les médias
"Trump le sexiste" vient de nommer une femme chef de cabinet de la maison blanche pour la première fois de l'histoire US.
— Bertrand Riviere (@BGaideclin) November 8, 2024
...On nous aurait menti ??? https://t.co/n7uv4n2zVb
Pan sur le bec de la perfide Albion par Robert Fico, 1er ministre slovaque
Premier ministre de la Slovaquie, Robert Fico :
"Je voudrais réagir à la déclaration scandaleuse de l’ambassadeur britannique en Slovaquie, M. Baker, qui m’a critiqué pour mon apparition à la télévision russe.
Vous devriez vous intéresser davantage à la qualité de la couverture médiatique occidentale de la guerre en Ukraine. Vous verrez qu'il s'agit souvent d'une propagande grossière défendant des faits sans fondement.
Je vous demande de vous abstenir de telles couvertures, qui constituent une ingérence injustifiable dans la politique du gouvernement souverain slovaque."
jeudi 7 novembre 2024
Tulsi Gabbard : "Donald Trump est le 47e président – Nous l’avons fait !"
mercredi 6 novembre 2024
IL L’A FAIT !
Donald Trump est en train de réaliser le come back le plus extraordinaire de l’histoire des Etats-Unis.
Songez-y : il avait contre lui tout l'establishment démocrate, une partie des élus républicains, les juges, les commissions électorales, 95% des grands médias, Big data, le FBI, la CIA, les oligarques de Davos, le très puissant lobby militaro industriel, une grande partie de la communauté internationale et j'en passe… Il fallait avoir un mental surhumain pour tenir tête aux entités les plus puissantes de la planète.
Pour ma part et je l’avoue humblement, je n’aurais jamais misé sur un retour de Trump à la Maison blanche. Marqué par les évènements qui se sont déroulés durant la nuit du 3 au 4 novembre 2020, j’ai passé quatre années à étudier la fraude électorale mise en place par les démocrates avec la complicité d’un certain nombre de républicains.
Aussi, je tiens à présenter toutes mes excuses à ceux dont j’ai pu refroidir l’enthousiasme.
Mais les faits sont là et le peuple américain s’est mobilisé comme jamais pour ces élections dont on ne mesure pas assez l’importance pour les Etats-Unis mais également pour le monde entier.
Le 45ème président des Etats-Unis va pouvoir accomplir le second mandat dont il avait été injustement privé. Nul doute qu’il y aura un avant et un après 5 novembre 2024.
Cette victoire est historique.
Marc Amblard
TULSI GABBARD : La vérité sur l'élection présidentielle de 2024
mardi 5 novembre 2024
FLORIAN PHILIPPOT : "TRUMP A CAPTÉ L'AIR DU TEMPS"
lundi 4 novembre 2024
dimanche 3 novembre 2024
« Les éoliennes vont vous coûter 9MDs pour RIEN en 2025 ! » — Fabien Bouglé
vendredi 1 novembre 2024
Documentaire exclusif - L’Europe de l’Est, aux portes de la guerre
BRICS : Le sommet de Kazan est un chef-d'oeuvre géopolitique
jeudi 31 octobre 2024
La géopolitique n’est pas une affaire de morale - Caroline Galactéros
Trump trolle Joe et Kamala dans son camion poubelle MAGA
Trump : « Comment trouvez-vous mon camion poubelle ? Ce camion est en l'honneur de Kamala et Joe Biden. » 😂 https://t.co/WGOah65jgt
— Bertrand Riviere (@BGaideclin) October 30, 2024
mercredi 30 octobre 2024
Le discours émouvant de Tulsi Gabbard sur Kamala Harris et le parti de la guerre à Washington
mardi 29 octobre 2024
LAVROV : LA RUSSIE NE RENONCERA PAS À SES INTÉRÊTS, QUEL QU'EN SOIT LE PRIX
lundi 28 octobre 2024
LA FRAUDE ÉLECTORALE POUR SAUVER LA DÉMOCRATIE…
dimanche 27 octobre 2024
samedi 26 octobre 2024
Tulsi Gabbard donne son avis sur l'interview de Kamala Harris sur CNN
vendredi 25 octobre 2024
jeudi 24 octobre 2024
CERTAINS SONDAGES PLACENT TRUMP EN TÊTE MAIS LES DÉMOCRATES ONT PLUS D’UN TOUR DANS LEUR SAC
Nous le savons, aux USA, environ 22 états (sur 50) voteront démocrate quoi qu’il arrive. Un nombre équivalent votera républicain. Sauf grosse surprise évidemment…
Six états sont en revanche bien plus indécis et donc déterminants. On les nomme « swing states » ou états pivot.
Parmi ceux-là, la Pennsylvanie est au centre de toutes les attentions en raison notamment de sa taille et donc du nombre de délégués (grands électeurs) que cet état enverra à Washington le 6 janvier 2025 pour désigner le futur président des Etats-Unis.
Certains sondeurs y créditent Madame Harris d’une très courte avance sur Trump. Pour d’autres, c’est l’inverse. Évidemment, chacun observe les sondages qui lui font plaisir…
Le fait est que la candidate démocrate recule à mesure qu’elle s’exprime dans les médias au point que ses conseillers lui recommandent de prendre le large jusqu’au 5 novembre. Son silence sera toujours préférable aux salades de mots incompréhensibles dont elle est coutumière.
Pour autant, les supporters de l’ancien président feraient bien de garder la tête froide et de ne pas ignorer le facteur dominant dans ces élections (comme en 2020 et 2022) : la présence d’électeurs illégitimes.
En Pennsylvanie, les enquêteurs d'Omega4america ont dénombré pas moins de 1,4 millions de bulletins fantômes (*) sur un total de 9 millions d'électeurs inscrits et 7 millions d'électeurs actifs, soit 20% environ.
Ce sont eux qui feront malheureusement l’élection. Rien d’autre. Ça laisse malheureusement une grosse marge à Madame Harris, aussi vide soit-elle.
(*) Précision : ce décompte des bulletins fantômes a été réalisé par des experts informaticiens qui comparent très régulièrement les adresses où sont domiciliés les électeurs inscrits sur les listes électorales avec les adresses officielles apparaissant sur le site de chaque comté qui gère le recouvrement de taxe foncière. L'outil permet alors d'extraire toutes les adresses dites inéligibles (celles où personne ne peut raisonnablement habiter comme les stations-services, les écoles, les boites postales chez UPS, les Walmart…). Le système détecte également les électeurs qui, bien qu’apparaissant encore sur les listes actuelles, ont déménagé dans un autre état ou sont décédés.
See you in 12 days.
Marc Amblard
mercredi 23 octobre 2024
Ukraine et Israël vers la défaite ? - John Mearsheimer
L'ancienne élue Démocrate et militante pour la paix Tulsi Gabbard annonce qu'elle rejoint le parti Républicain
mardi 22 octobre 2024
La Russie modifie sa doctrine nucléaire - Karaganov, Mercouris & Diesen
lundi 21 octobre 2024
CAROLINE GALACTÉROS : "L'AMÉRIQUE VIT PAR LA GUERRE, L'EUROPE REFUSE DE LE VOIR"
dimanche 20 octobre 2024
samedi 19 octobre 2024
vendredi 18 octobre 2024
Tulsi Gabbard : Mes réflexions sur l’interview de Kamala Harris sur Fox News
jeudi 17 octobre 2024
mercredi 16 octobre 2024
ÉRIC BRANCA : "LES AMÉRICAINS ONT RECYCLÉ LES ANCIENS NAZIS"
mardi 15 octobre 2024
lundi 14 octobre 2024
samedi 12 octobre 2024
KAMALA HARRIS N’A JAMAIS FAIT PARTIE DU PLAN - LES DÉMOCRATES SE SONT FAIT PIÉGER PAR JOE
L’état de sénilité avancée de l’actuel président a contraint en juillet dernier quelques personnalités du parti démocrate à provoquer son éviction. Maintenir Biden dans la course, c’était l’échec assuré en novembre prochain.
Barack Obama, Chuck Schumer et Nancy Pelosi ont alors pesé de tout leur poids pour le forcer au retrait avec pour projet de désigner un successeur par le biais de négociations au sein de l’establishment.
Mais le vieux Joe Biden, quelque peu caractériel, a très peu apprécié ce qu’il prît pour un acte de haute trahison. Il a alors réagi en dégoupillant dans les pieds du parti une grenade redoutable à laquelle personne ne s’attendait : le dimanche 21 juillet, il prit la décision d’annoncer outre le retrait de sa candidature, son soutien à Kamala Harris pour le remplacer.
Bien sûr, l’équipe de campagne du vieux Biden s’est bien gardé d'en d’informer préalablement le triumvirat précité.
Pris au dépourvu, aucun des trois ne s’est précipité pour offrir son appui à la nouvelle égérie Kamala. Ils ont attendu pas moins d’une semaine avant de se joindre au concert de louanges abondamment relayé par les grands médias.
Il faut dire qu’avec son brushing, son tailleur, sa peau colorée et son attachement au transgenrisme, la candidate Harris procurait une certaine satisfaction au mouvement progressiste toujours prompt à dézinguer les codes traditionnels.
Aussi, s’opposer après coup au bulldozer en marche, c’était prendre le risque de déclencher les foudres des groupes féministes et anti-racistes. Barak, Chuck et Nancy durent faire bon gré contre mauvaise fortune. Pas le choix.
Le problème, c’est que Kamala est sotte et totalement incapable d’assumer la fonction suprême. Faut-il rappeler qu’en 2019, elle fut classée comme la sénatrice la plus gauchiste (100ème sur 100 selon l’organisme non partisan GovTrack). Donc encore plus que le sénateur outrancier Bernie Sanders, c’est dire.
Au demeurant, les démocrates du pays n’ont jamais été dupes puisqu’en décembre de cette même année, Madame Harris dut abandonner les primaires démocrates, un sondage la situant à seulement 3% parmi les autres candidats. Cela nous donne une idée de sa cote d’amour au sein de son propre parti…
Même l’actuel président ne l’a jamais vraiment apprécié. S’il la nomma à la vice-présidence en 2020, c’est uniquement pour répondre aux exigences de quelques très influents représentants noirs lors des primaires dans les états clés.
Aussi que Joe l’ait officiellement soutenue ce 21 juillet ne doit pas être vu autrement qu’un acte de vengeance contre les conspirateurs de son parti qui l’ont mis (à juste titre) sur la touche.
Il est donc peu surprenant que les derniers sondages accordent à l’ancien président Trump une confortable avance. Sera-t-elle suffisante ? On peut en douter. Le système électoral américain étant aussi sûr et transparent que celui d'une république bananière de Centrafrique, on doit s’attendre à tout. On sait déjà que ce sera pire qu’en 2020.
Rendez-vous dans 24 jours.
Marc Amblard – 12.10.2024