Alors que les démocrates s'indignent de « l'influence non élue » d'Elon Musk pour avoir révélé les dépenses inutiles du gouvernement fédéral, un récent rapport choc révèle une usurpation sans précédent du pouvoir exécutif : la présidence de Biden a été largement dirigée par des hommes de l'ombre, les membres du cabinet ayant rarement un accès direct à leur commandant en chef.
Même la secrétaire au Trésor Janet Yellen – traditionnellement l’un des postes les plus importants du cabinet – a été maintenue à distance, forcée de communiquer par le biais d’intermédiaires.
Les briefings réguliers du secrétaire à la Défense Austin sont devenus de plus en plus rares, même lorsque les guerres ont éclaté en Ukraine et à Gaza.
Les membres du cabinet ont complètement cessé de demander l’accès au président, sachant que de telles demandes seraient refusées.
Il ne s’agissait pas d’une simple délégation, mais d’une dissimulation institutionnelle.
Là où Obama s'est activement impliqué avec son cabinet pour débattre de la politique à mener, l'équipe de Biden a créé une barrière infranchissable de personnes qui ont émis des directives descendantes avec peu d'implication présidentielle.
Pourtant, quand Elon a utilisé la transparence de X pour réduire un projet de loi de dépenses de 1 547 pages à 118 pages, ces mêmes démocrates ont dénoncé son influence « fantôme ».
L’hypocrisie est stupéfiante : Washington préfèrerait avoir des employés non élus qui dirigent secrètement le pouvoir exécutif plutôt que de faire face à un examen public de ses dépenses excessives.
Le message est clair : l’establishment protégera les siens tout en combattant ceux qui osent lever le voile.
🇺🇸 SCOTT JENNINGS: THE BIGGEST SCANDAL IN AMERICA IS COVER UP OF BIDEN'S CONDITION
— Mario Nawfal (@MarioNawfal) December 20, 2024
"The biggest scandal in America is the four years of lies about this president’s condition.
If Trump’s advisers worry you, ask this: Who has been running the country while this president was… https://t.co/Sv6y77rtk2 pic.twitter.com/aPIJEtmiPA
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