Bonjour, Ravi de votre retour ! Petits éléments de raisonnement pouvant servir à voir où se trouvent le ou les intérêts de destruction du barrage. En bonne logique militaire, il me semble qu’il serait beaucoup plus judicieux, si c’était les Russes, d’attendre une offensive passant le Dniepr au sud du barrage pour faire revivre la traversée de la mer rouge avec les ukrainiens comme pharaon. Je suis d’accord avec vous sur la ruine complète de toutes les installations russes de défense en dessous de la côte maximale atteinte par les eaux relâchées par le barrage (Champ de mines, fortifications, routes,…) quand on connaît la force de ravinement des eaux en mouvement. Sinon si l’on en croit l’article de l’excellent analyste Moon O À (en général fiable) du 6 juin où il fait remarquer l’heure d’un message Telegram à 3h du matin du principal conseiller du Pdt ukrainien alors que l’explosion avait eu lieu à 2h50. Quelle merveilleuse réactivité ukrainienne ! Tout cela pour remercier les journalistes occidentaux de les aider pour désigner le « bon coupable ». Si je continue, mais là je serai traité de complôtiste, il est à remarquer la destruction du gazoduc d’ammoniac peu après celle du barrage (Bien évidemment, les médias français regardent du côté de la Russie). Il se trouve que l’exportation à partir d’Odessa de cet ammoniaque venant de Russie, (essentielle pour la fabrication des engrais) est une contrepartie de l’accord sur l’exportation des céréales ukrainiennes à partir d’Odessa pour nourrir les pauvres africains mourant de faim à cause de la Russie et encore plus avec le blocage des ingrédients de fabrication des engrais. Dans ces conditions, l’Ukraine et ses sponsors vont jouer sur du velours pour interdire la reprise des contreparties mais continuer les exportations ukrainiennes de céréales vu les nouvelles horreurs russes
Merci pour ces informations complémentaires. En effet, la destruction du gazoduc amoniac est un fait important que je n'ai pas eu le temps d'aborder dans la vidéo .
Bonjour,
RépondreSupprimerRavi de votre retour !
Petits éléments de raisonnement pouvant servir à voir où se trouvent le ou les intérêts de destruction du barrage.
En bonne logique militaire, il me semble qu’il serait beaucoup plus judicieux, si c’était les Russes, d’attendre une offensive passant le Dniepr au sud du barrage pour faire revivre la traversée de la mer rouge avec les ukrainiens comme pharaon.
Je suis d’accord avec vous sur la ruine complète de toutes les installations russes de défense en dessous de la côte maximale atteinte par les eaux relâchées par le barrage (Champ de mines, fortifications, routes,…) quand on connaît la force de ravinement des eaux en mouvement.
Sinon si l’on en croit l’article de l’excellent analyste Moon O À (en général fiable) du 6 juin où il fait remarquer l’heure d’un message Telegram à 3h du matin du principal conseiller du Pdt ukrainien alors que l’explosion avait eu lieu à 2h50. Quelle merveilleuse réactivité ukrainienne ! Tout cela pour remercier les journalistes occidentaux de les aider pour désigner le « bon coupable ».
Si je continue, mais là je serai traité de complôtiste, il est à remarquer la destruction du gazoduc d’ammoniac peu après celle du barrage (Bien évidemment, les médias français regardent du côté de la Russie). Il se trouve que l’exportation à partir d’Odessa de cet ammoniaque venant de Russie, (essentielle pour la fabrication des engrais) est une contrepartie de l’accord sur l’exportation des céréales ukrainiennes à partir d’Odessa pour nourrir les pauvres africains mourant de faim à cause de la Russie et encore plus avec le blocage des ingrédients de fabrication des engrais.
Dans ces conditions, l’Ukraine et ses sponsors vont jouer sur du velours pour interdire la reprise des contreparties mais continuer les exportations ukrainiennes de céréales vu les nouvelles horreurs russes
Merci pour ces informations complémentaires.
SupprimerEn effet, la destruction du gazoduc amoniac est un fait important que je n'ai pas eu le temps d'aborder dans la vidéo .