mercredi 5 octobre 2022

L'OTAN cherche à provoquer la panique du coté russe mais l'offensive ukrainienne n'est pas durable

2 commentaires:

  1. Bonsoir Bertrand,
    Toujours un plaisir de t'entendre.
    Je partage ton analyse. On peut se tromper, mais il est difficilement concevable que la Russie soit à court de moyen.
    Pour le moment, je pense aux passes d'un toréador, qui agite la muleta pour pousser le taureau à s'épuiser dans le vide. Pendant ce temps, le toréador s'économise face à un taureau plus massif.
    Puis finalement le taureau à genou, épuisé, est mis à mort.
    L'OTAN et ses soldats ukrainiens foncent comme des bêtes. A chaque replis ils sont de plus en plus persuadés qu'ils vont encornés l'armée russe. Celle-ci esquive et encourage l'ennemi, lui donne de l'espoir en faisant croire à une possible défaite.
    Pour mieux convaincre les atlanto-ukrainiens, il faut que tout le monde y croit, y compris les russes eux-mêmes.
    Bientôt, sans nul doute, ce sera le coup de grâce.
    Peut-être que je me trompe, mais....mais....peut-être pas.
    Amicalement à toi Bertrand
    DUGUESCLIN

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    Réponses
    1. Excellente, ton analogie tauromachique, c'est tout à fait parlant.
      Je peux me tromper aussi mais j'ai le sentiment que c'est une offensive purement psychologico-politique, cette affaire.

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