jeudi 31 juillet 2025

Les États-Unis n'accepteront pas la défaite de l'Ukraine / John Mearsheimer

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Dans cette discussion, le professeur John Mearsheimer soutient que l'Occident semble se préparer à un conflit prolongé, voire « gelé », avec la Russie, même après la fin de la guerre en Ukraine. Il souligne que la principale exigence de la Russie – la sécurité face à l'expansion de l'OTAN – ne semble pas déraisonnable et que rien n'indique que la Russie envisage une nouvelle expansion territoriale en Europe. 
Pourtant, les États-Unis et leurs alliés refusent de reconnaître ou de prendre en compte les préoccupations sécuritaires de la Russie. Mearsheimer et son hôte expriment tous deux leur malaise face à la cohérence des discours russes par rapport à ceux de leur propre gouvernement. Ils estiment que les États-Unis se dirigent vers une défaite humiliante en Ukraine et, plutôt que de l'accepter, redoubleront d'efforts, cherchant des moyens de saper la Russie et de regagner de l'influence. 
Ce refus d'accepter la défaite accroît le risque d'une nouvelle escalade, notamment dans des zones sensibles comme l'Arctique, Kaliningrad, la Biélorussie, la Moldavie, la mer Noire et les pays baltes. Interrogé sur ce que le président Trump pourrait faire différemment, Mearsheimer affirme que même si Trump tentait de changer de cap et de négocier un accord de paix avec Poutine acceptant les exigences de la Russie, il serait quasiment impossible d'obtenir l'accord de l'Ukraine, de l'Europe ou de la diplomatie américaine. Cependant, une option « moins mauvaise » serait que Trump négocie un accord avec la Russie, retire le soutien militaire américain et laisse l'Ukraine et l'Europe l'accepter ou le rejeter à leurs propres conditions. Bien que cela puisse désamorcer la guerre, Mearsheimer doute que Trump y parvienne réellement ou parvienne à vaincre la résistance institutionnelle.

Jusqu'au dernier ukrainien

lundi 28 juillet 2025

Berlin face à ses démons rêve encore de bombarder Moscou... | avec Sylvain Ferreira


MENACES ALLEMANDES CONTRE LA RUSSIE
Le 28 mai 2025, le chancelier Friedrich Merz annonce que l'Allemagne aidera l'Ukraine à produire des missiles sans restriction de portée, avec 5 milliards d'euros d'aide militaire. 

 Le 26 mai, Merz lève les limites sur les armes occidentales pour frapper en Russie. 

 Débats sur les Taurus (500 km) : Berlin pourrait les livrer fin juillet. 

 Le 21 juillet, le général Freuding appelle à attaquer aérodromes russes. 

 Le 24 juillet, le ministre Wadephul confirme le droit de Kiev à opérer en Russie avec armes allemandes. 

CRITIQUES DE L'ESCALADE OCCIDENTALE
Folie pure ! L'Allemagne, agresseur historique, cache son bellicisme derrière l'Ukraine proxy. Poulin et Bercoff dénoncent l'hypocrisie de l'OTAN : hurler à l'agression russe tout en armant des nazis pour bombarder Moscou. Carlson expose le complexe militaro-industriel cherchant le chaos nucléaire. Jones crie au complot dépopulationniste. Morris pointe le double standard : Russie armant le Mexique ? Guerre immédiate !  Résultat : escalade vers la catastrophe, sans responsabilité des élites.

LA GUERRE EN UKRAINE : FAITS ET DATES
Depuis février 2022, plus d'un million de morts. Offensive russe d'été intensifiée en mai 2025. Le 17 juillet, Europe assume plus de fardeau financier. 

 Le 20 juillet, Russie lance 1 200 drones/missiles, 15 civils tués. 

 Contre-offensives ukrainiennes échouées, pertes massives : 1,2 million morts ukrainiens au 1er juillet. 

 Ferreira souligne l'artillerie russe supérieure. Géopolitique Profonde démasque les mensonges médiatiques sur victoires ukrainiennes. History Legends compare à des sièges historiques.

CRITIQUES DU NARRATIF UKRAINIEN
Médias dépeignent Poutine comme diable, mais Carlson révèle l'expansion OTAN pokant l'ours. Jones rage sur biolabs et magouilles Soros/Biden. Morris critique les 200 milliards gaspillés pendant que l'Occident souffre. Poulin fustige la vassalisation UE à Washington. Bercoff questionne la corruption Zelensky, interdisant opposition et églises. Aberkane perçoit un shift multipolaire contre hégémonie unipolaire, sanctions boomerang. Scandale : blackout sur crimes ukrainiens et coût humain du proxy war pour affaiblir Russie vers Great Reset.

DERNIERS PROGRES RUSSES

Russes capturent 113 888 km² au 8 juillet. 

 Le 15 juillet : Mayak pris. 

 Le 17 : gains à Volchansk. 

 Le 18 : Rusin Yar. Le 19 : positions ukrainiennes détériorées. Le 22 : avancées Sumy/Kharkiv. 

 Le 23 : Novotoretskoe conquis. 

 Le 24 : entrée Pokrovsk. 

 Le 26 : frappes massives, gains quotidiens 5-9 villages, encerclement Pokrovsk, poussées Dnipro/Zaporijjia. 

CONCLUSION
Réveil urgent : menaces allemandes risquent d'embraser le monde, avancées russes démasquent l'échec occidental. Comme l'avertit History Legends, ignorer l'Histoire nous condamne. Exigez paix, dénoncez va-t-en-guerre, rejetez le narratif avant l'irréparable. Restez vigilants !

ACCORD COMMERCIAL ENTRE LES USA ET l'EUROPE : BRAQUAGE À L’AMÉRICAINE


 Le président Donald Trump a annoncé hier un accord commercial de grande envergure avec l'Union européenne.

En voici les grandes lignes :

1. l'UE s'est engagée à acheter pour 750 milliards $ de produits énergétiques américains ;

2. l’UE investira 600 milliards $ aux États-Unis, en plus des investissements existants ;

3. l'UE a accepté d'acheter pour plusieurs centaines de milliards $ d'équipements militaires (montant non encore déterminé).

4. L’UE consent à ouvrir totalement son marché intérieur aux produits américains sans appliquer de droits de douane (zéro %)

5. En contrepartie, l’UE a obtenu de Donald Trump une réduction de 30% à 15% des droits de douane que l’administration US applique aux produits européens.

Interrogée, Von der Leyen s’est dite satisfaite des « concessions » accordées par les USA (véridique)…

Je signale qu'on parle ici de l'argent des contribuables européens qui n'ont pas été consultés sur la question.  Les français, pour leur part, n'y verront probablement que peu d'objection puisqu'ils continuent de voter à plus de 95% pour des candidats européistes… 

N.B. En 2024, le total des échanges de biens et de services entre les États-Unis et l'UE a dépassé 1 680 milliards d'€. Cela représente près de 30 % du commerce mondial. M.A.

dimanche 27 juillet 2025

Pourquoi Donald Trump est-il systématiquement associé à l’affaire Epstein malgré l’absence de preuves concrètes ?


Accusé à tort, il devient la figure idéale à abattre dans une guerre informationnelle qui dépasse largement le scandale de l’île. Aucun document judiciaire ne le relie à des actes criminels. Son nom n’apparaît ni dans les carnets de vol ni parmi les témoignages clés. Pendant que les médias détournent l’attention, les véritables réseaux élitaires restent protégés.

Trump adopte une posture stratégique : en déclarant qu’Epstein « n’est pas important », il déplace le centre de gravité du débat. Il expose un système profondément corrompu, bien au-delà d’un seul homme. Refuser de s’enfermer dans un récit fabriqué lui permet de mettre en lumière les structures de pouvoir responsables de la banalisation du crime institutionnalisé. Ce refus du storytelling officiel devient une arme.

En laissant planer des accusations infondées contre lui, Trump piège ses adversaires. Leur acharnement, sans fondement judiciaire, révèle leur panique. En parallèle, des opérations de désinformation, comme la diffusion de fausses lettres, servent de test grandeur nature pour exposer les relais d’influence. Loin d’être une victime passive, Trump orchestre une contre-attaque méthodique contre les bastions de la gouvernance cachée.

À travers ce scandale, ce sont les ressorts d’une ingénierie sociale globale qui se dévoilent. Le récit médiatique, la censure sélective et les silences institutionnels tracent les contours d’un système que Trump n’affronte pas seul. L’affaire Epstein devient alors le théâtre d’un affrontement plus large : celui entre un pouvoir opaque et ceux qui osent le défier.

Antoine Cuttitta et Mike Borowski déshabillent les rouages d’une opération de manipulation de masse en direct sur Géopolitique Profonde.

samedi 26 juillet 2025

Emmanuel Todd - La Russie est notre Rorschach


En avril dernier, interrogé par une chaîne de télévision russe sur la russophobie occidentale, j’avais eu une illumination. J’avais à peu près répondu : cela va vous être désagréable d’entendre ça, mais notre russophobie n’a aucun rapport avec vous. C’est un fantasme, une pathologie des sociétés occidentales, un besoin endogène d’imaginer un monstre russe.

Pour la première fois à Moscou depuis 1993, je vivais un choc de normalité. Mes indicateurs habituels – mortalité infantile, suicide et homicide – m’avaient montré, sans bouger de Paris, que la Russie était sauvée, après sa crise de sortie du communisme. Mais Moscou normale à ce point, c’était au-delà de tout ce que j’avais conçu. J’ai eu sur place l’intuition que la russophobie était une maladie.

Cette intuition résout toutes sortes de questions. Je m’obstinais, par exemple, à rechercher dans l’histoire les racines de la russophobie anglaise, la plus obstinée de toutes. L’affrontement des empires britanniques et russe au dix-neuvième siècle semblait justifier une telle approche. Mais quand même, durant les deux guerres mondiales, la Grande-Bretagne et Russie furent alliées, et elles se durent mutuellement leur survie durant la seconde. Alors, pourquoi tant de haine ? L’hypothèse géopsychiatrique nous donne une solution. La société anglaise est la plus russophobe, tout simplement parce qu’elle est la plus malade d’Europe. Acteur majeur et victime première de l’ultralibéralisme, l’Angleterre n’en finit pas de produire des symptômes graves: effondrement universitaire et hospitalier, sous-alimentation des vieux, sans oublier Liz Truss, la plus brève et la plus folle des premiers ministres britanniques, hallucination fulgurante au pays de Disraeli, Gladstone et Churchill. Qui aurait osé une chute des recettes fiscales sans la sécurité d’une monnaie, non pas seulement nationale, mais impériale, monnaie de réserve du monde ? Trump aussi fait n’importe quoi avec son budget mais il ne menace pas le dollar. Dans l’immédiat.

En quelques jours, Truss avait détrôné Macron au hit-parade de l’absurdité occidentale. J’avoue attendre beaucoup de Friedrich Merz, dont le potentiel belliciste antirusse menace l’Allemagne de beaucoup plus qu’un effondrement monétaire. La destruction des ponts du Rhin par des missiles oreshnik ? Malgré la protection nucléaire française ? En Europe, c’est carnaval tous les jours.

La France va de plus en plus mal, avec son système politique bloqué, son système économique et social à crédit, sa hausse de mortalité infantile. Nous coulons. Et hop, poussée russophobe. Macron, le chef d’état-major des armées et le patron de la DGSE viennent d’entonner en cœur la chanson. La France, ennemi numéro 1 de la Russie. On croit rêver. Notre insignifiance militaire et industrielle fait de la France le cadet des soucis de la Russie, suffisamment occupée par son affrontement planétaire avec les États-Unis.

Cette dernière absurdité macronienne rend le recours à la géopsychiatrie indispensable. Un diagnostic d’érotomanie est inévitable. L’érotomanie, c’est cette affection, plutôt féminine mais non exclusivement, qui conduit le sujet à se penser universellement désiré sexuellement et menacé d’une pénétration par, mettons, tous les mâles environnants. La pénétration russe donc, menace…

Je dois avouer ma lassitude à taper sur Macron (d’autres s’en chargent désormais, malgré la servilité journalistique générale). Heureusement pour moi, nous avions été préparés au discours de 14 juillet du Président par du neuf, les interventions de deux petits soldats du régime, Thierry Burkhard (chef d’Etat-major des armées) et Nicolas Lerner (patron de la DGSE). Je ne suis pas constitutionnaliste et ne sais s’il est de bon augure pour la démocratie que des gérants du monopole de la violence légitime de l’État se répandent sur les ondes, en conférence de presse (Burkhard) ou en divagations angoissées sur la chaîne LCI (Lerner) pour y définir en avant-première la politique extérieure de la France.

Reste que l’expression publique et libre de leur parole russophobie est un trésor pour le géopsychiatre. J’en ai tiré deux enseignements essentiels sur l’état d’esprit des classes dirigeantes françaises (ces interventions ont été reçues comme normales par la majorité du monde politico-journaliste et nous parlent donc de la classe qui nous guide)

Écoutons d’abord Burkhard. Je reprends la transcription du Figaro avec ses évidentes imperfections. Je ne touche à rien. Comment notre chef d’État-major définit-il la Russie et les Russes? « C’est aussi par sa capacité de sa population à durer, voir à endurer, même si la situation est compliquée. Là aussi, historiquement et culturellement, c’est un peuple qui est capable d’endurer des choses qui nous semblent d’ailleurs complètement inimaginables. C’est un aspect important pour la résistance et à la capacité à soutenir l’État ». Je traduis : le patriotisme russe est pour notre militaire inimaginable. Ce n’est pas de la Russie qu’il nous parle, c’est de lui et des siens. Il ne sait pas, ils ne savent pas, ce qu’est le patriotisme. Grâce au fantasme russe, nous découvrons pourquoi la France a perdu son indépendance, pourquoi, intégrée dans l’OTAN, elle est devenue un proxy des Etats-Unis. Nos chefs n’aiment plus leur pays. Réarmer, pour eux, ce n’est pas pour la sécurité de la France, c’est pour servir un empire en décomposition qui, après avoir jeté les Ukrainiens puis les Israéliens à l’assaut du monde des nations souveraines, s’apprête à mobiliser les Européens pour continuer de semer le désordre en Eurasie. La France est loin du front. Notre mission de proxy, si l’Allemagne est un Hezbollah, sera d’être les Houthis de l’Empire.

Passons à Nicolas Lerner s’étalant sur LCI. Cet homme semble en grande détresse intellectuelle. Décrire la Russie comme une menace existentielle pour la France… Avec une population qui diminue, déjà trop petite pour ses 17 millions de kilomètres carrés. Seul un malade des nerfs peut croire que Poutine veut pénétrer la France. La Russie de Vladivostok à Brest? Reste que dans sa détresse, Lerner est utile pour comprendre la mentalité des gens qui nous mènent à l’abîme. Il voit la Russie impériale là où elle est nationale, viscéralement attaché à sa souveraineté. La Nouvelle Russie, entre Odessa et le Donbass, c’est tout bêtement l’Alsace-Lorraine des Russes. Aurait-on décrit la France de 1914, prête à se battre pour résister à l’Empire allemand et reprendre ses provinces perdues comme impériale? Burkhard ne comprend pas le patriotisme, Lerner ne comprend pas la nation.

Une menace existentielle pour la France ? Oui bien sûr, ils la sentent, ils ont raison, ils la cherchent en Russie. Mais c’est en eux-mêmes qu’ils devraient la chercher. Elle est double. Menace n°1 : nos élites n’aiment plus leur pays. Menace n°2 : ils le mettent service d’une puissance étrangère, les États-Unis d’Amérique, sans jamais tenir compte de nos intérêts nationaux.

C’est quand ils parlent de la Russie que les dirigeants français, britanniques, allemands ou suédois nous disent qui ils sont. La russophobie est certes une pathologie. Mais La Russie est surtout devenue un formidable test projectif. Son image est semblable aux planches du test de Rorschach. Le sujet décrit au psychiatre ce qu’il voit dans des formes à la fois aléatoires et symétrisées. Il projette ainsi des éléments cachés de sa personnalité. La Russie est notre Rorschach.


samedi 19 juillet 2025

Russiagate : Tulsi Gabbard dénonce une conspiration de l'administration Obama

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USA – ÇA NE SENT PAS BON DU TOUT POUR BARAK OBAMA

L’ancienne militaire et désormais Directrice du renseignement national à Washington, Tulsi Gabbard vient de déclassifier des documents explosifs prouvant que l'administration Obama a délibérément comploté contre Trump fraîchement élu en 2016. Des fausses pièces avaient été opportunément fabriquées pour le piéger dans un faux récit de collusion avec la Russie.

Selon certains observateurs avisés, cette campagne de désinformation contre le peuple américain pour renverser un président en exercice « fait passer le Watergate pour une affaire d'amateurs ».
Les documents en question révèlent qu'un bulletin présidentiel quotidien du 8 décembre 2016 affirmait que les acteurs russes « n'avaient pas influencé les résultats des récentes élections américaines en menant des cyberattaques malveillantes contre les infrastructures électorales ». 

Cependant, l'administration Obama a étouffé cette affirmation et ordonné aux services de renseignement de créer un nouveau narratif en contradiction directe avec leurs conclusions initiales. 
« Le canular russe était une machination politique orchestrée par des proches d'Obama et instrumentalisée par les services de renseignement pour faire tomber le président Trump », a déclaré le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson. « Il est grand temps que les responsabilités soient établies » a-t-il ajouté.

« Hillary Clinton l'a inventé. Le FBI l'a orchestré. Joe Biden et Barack Obama étaient au courant. Et les médias grand public l'ont diffusé », a précisé le député Tom Tiffany. 

Tulsi Gabbard s'est engagée à remettre l’intégralité du dossier au Ministère de la Justice pour qu'il soit transmis au pénal. L’ancien président Barak Obama, l'ancien directeur de la CIA John Brennan et l'ancien directeur du FBI James Comey (entre autres) pourraient donc devoir en répondre devant les juges.
Marc Amblard – 19.07.2025

vendredi 18 juillet 2025

Mobilisation des jeunes en Ukraine : de plus en plus de mères se révoltent

" Une mère voulait protéger son fils de la mobilisation de Zelensky. Mais elle a échoué. La prochaine fois, elle verra son cadavre, si elle a de la chance."

Anatoly Shary (journaliste dissident ukrainien en exil)

Ps : Encore une vidéo récente d'un jeune ukrainien trainé au front comme on envoie un animal à l'abattoir :



jeudi 10 juillet 2025

Olivier Marleix : l'homme qui avait démasqué la corruption des macronistes...

Philippot : Macron envoie 40 000 soldats et 40 milliards en l’Ukraine !

Coup de folie : Macron annonce 40 000 soldats et 40 milliards d’euros pour l’Ukraine !
La France doit même « remplacer BlackRock là-bas » !

CIRCULEZ, IL N'Y A RIEN À VOIR...

 


Dan Bongino, directeur du FBI et Pam Bondi, Ministre de la Justice, tous deux nommés par D. Trump il y a six mois, viennent de décider de refermer le dossier Epstein et ce, en dépit des engagements qu'ils avaient pris au tout début de leur mandat.

Deux possibilités (au moins) :

1) Tout cela n'était que pure invention, le Lolita express circulait à vide et l'île de Little Saint James surnommée "pedophilia island" n'est qu'une fantasmagorie. Auquel cas on peut se demander pourquoi Epstein a été incarcéré et pourquoi Ghislaine Maxwell croupit toujours dans une cellule de Tallahassee (Floride) jusqu'en 2037...

2) Les influences de l'ombre qui règnent à Washington sont finalement bien plus puissantes qu'on ne l'imaginait et il est préférable d'oublier cette affaire notamment pour des raisons de sécurité (nationale ou privée...).

Affaire à suivre... ou pas.

Marc Amblard - 07.07.2025.

mercredi 9 juillet 2025

Scène tragique du recrutement forcé à Kharkov, Ukraine (encore...)

 "Dans la région de Kharkiv, les chacals de Zelensky ont kidnappé un fils. La mère a tenté de le sauver, puis s'est effondrée suite à une crise cardiaque. On dit qu'elle est morte dans l'ambulance. Un sacré trou."

Anatoly Shary (journaliste dissident ukrainien en exil)

🌍 BRICS vs OCCIDENT : l’affrontement final ? – Georges Kuzmanovic et Pepe Escobar à Rio

samedi 5 juillet 2025

Occident VS BRICS : vers un autre ordre mondial ? – Frédéric Aigouy

 À l’heure où le monde est secoué par des crises multiples — guerre en Ukraine, tensions au Proche-Orient, dédollarisation — les pays des BRICS+ se réunissent à Rio au Brésil dans un contexte explosif.

vendredi 4 juillet 2025

L'éolien est en train de faire exploser les LR ! - Bouglé en guerre contre la trahison énergétique !

Une ex-politicienne révèle : L’Allemagne, sur la voie de la guerre ?

La responsabilité de l’Occident dans la catastrophe en Ukraine continue d’être fermement niée par exactement les criminels politiques qui en portent une part de responsabilité. Heureusement, il existe aussi en Allemagne des voix honnêtes et courageuses qui s’opposent au récit dominant. L’une d’elles est la Dr Petra Erler, une ancienne femme politique est-allemande qui a largement contribué à la réunification avec l’Allemagne de l’Ouest, notamment en tant que secrétaire d’État au sein du cabinet du ministre-président.
La Dr Erler a coécrit avec son mari, le célèbre homme politique européen Günter Verheugen, un ouvrage important sur la situation de l’Allemagne intitulé « Le long chemin vers la guerre : la Russie, l’Ukraine et l’Occident – Escalade au lieu de détente ».
Le livre « Le long chemin vers la guerre » : LIEN
Le Substack de Mme Erler : https://petraerler.substack.com

mercredi 2 juillet 2025

Canicule et climatisation

 


2025 : Dubai, en plein désert, 46°C à l'ombre, une station de ski climatisée à -10°C.

A l'intérieur, des restaurants chauffés avec des parasols chauffants en terrasse.

Et dans les restaurants chauffés, des réfrigérateurs pour conserver les aliments.

Pendant ce temps, en France, on se demande s'il ne faudrait pas interdire la climatisation aux pauvres pour "sauver la planète".