jeudi 31 octobre 2024
La géopolitique n’est pas une affaire de morale - Caroline Galactéros
Trump trolle Joe et Kamala dans son camion poubelle MAGA
Trump : « Comment trouvez-vous mon camion poubelle ? Ce camion est en l'honneur de Kamala et Joe Biden. » 😂 https://t.co/WGOah65jgt
— Bertrand Riviere (@BGaideclin) October 30, 2024
mercredi 30 octobre 2024
Le discours émouvant de Tulsi Gabbard sur Kamala Harris et le parti de la guerre à Washington
mardi 29 octobre 2024
LAVROV : LA RUSSIE NE RENONCERA PAS À SES INTÉRÊTS, QUEL QU'EN SOIT LE PRIX
lundi 28 octobre 2024
LA FRAUDE ÉLECTORALE POUR SAUVER LA DÉMOCRATIE…
dimanche 27 octobre 2024
samedi 26 octobre 2024
Tulsi Gabbard donne son avis sur l'interview de Kamala Harris sur CNN
vendredi 25 octobre 2024
jeudi 24 octobre 2024
CERTAINS SONDAGES PLACENT TRUMP EN TÊTE MAIS LES DÉMOCRATES ONT PLUS D’UN TOUR DANS LEUR SAC
Nous le savons, aux USA, environ 22 états (sur 50) voteront démocrate quoi qu’il arrive. Un nombre équivalent votera républicain. Sauf grosse surprise évidemment…
Six états sont en revanche bien plus indécis et donc déterminants. On les nomme « swing states » ou états pivot.
Parmi ceux-là, la Pennsylvanie est au centre de toutes les attentions en raison notamment de sa taille et donc du nombre de délégués (grands électeurs) que cet état enverra à Washington le 6 janvier 2025 pour désigner le futur président des Etats-Unis.
Certains sondeurs y créditent Madame Harris d’une très courte avance sur Trump. Pour d’autres, c’est l’inverse. Évidemment, chacun observe les sondages qui lui font plaisir…
Le fait est que la candidate démocrate recule à mesure qu’elle s’exprime dans les médias au point que ses conseillers lui recommandent de prendre le large jusqu’au 5 novembre. Son silence sera toujours préférable aux salades de mots incompréhensibles dont elle est coutumière.
Pour autant, les supporters de l’ancien président feraient bien de garder la tête froide et de ne pas ignorer le facteur dominant dans ces élections (comme en 2020 et 2022) : la présence d’électeurs illégitimes.
En Pennsylvanie, les enquêteurs d'Omega4america ont dénombré pas moins de 1,4 millions de bulletins fantômes (*) sur un total de 9 millions d'électeurs inscrits et 7 millions d'électeurs actifs, soit 20% environ.
Ce sont eux qui feront malheureusement l’élection. Rien d’autre. Ça laisse malheureusement une grosse marge à Madame Harris, aussi vide soit-elle.
(*) Précision : ce décompte des bulletins fantômes a été réalisé par des experts informaticiens qui comparent très régulièrement les adresses où sont domiciliés les électeurs inscrits sur les listes électorales avec les adresses officielles apparaissant sur le site de chaque comté qui gère le recouvrement de taxe foncière. L'outil permet alors d'extraire toutes les adresses dites inéligibles (celles où personne ne peut raisonnablement habiter comme les stations-services, les écoles, les boites postales chez UPS, les Walmart…). Le système détecte également les électeurs qui, bien qu’apparaissant encore sur les listes actuelles, ont déménagé dans un autre état ou sont décédés.
See you in 12 days.
Marc Amblard
mercredi 23 octobre 2024
Ukraine et Israël vers la défaite ? - John Mearsheimer
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vendredi 18 octobre 2024
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mercredi 16 octobre 2024
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mardi 15 octobre 2024
lundi 14 octobre 2024
samedi 12 octobre 2024
KAMALA HARRIS N’A JAMAIS FAIT PARTIE DU PLAN - LES DÉMOCRATES SE SONT FAIT PIÉGER PAR JOE
L’état de sénilité avancée de l’actuel président a contraint en juillet dernier quelques personnalités du parti démocrate à provoquer son éviction. Maintenir Biden dans la course, c’était l’échec assuré en novembre prochain.
Barack Obama, Chuck Schumer et Nancy Pelosi ont alors pesé de tout leur poids pour le forcer au retrait avec pour projet de désigner un successeur par le biais de négociations au sein de l’establishment.
Mais le vieux Joe Biden, quelque peu caractériel, a très peu apprécié ce qu’il prît pour un acte de haute trahison. Il a alors réagi en dégoupillant dans les pieds du parti une grenade redoutable à laquelle personne ne s’attendait : le dimanche 21 juillet, il prit la décision d’annoncer outre le retrait de sa candidature, son soutien à Kamala Harris pour le remplacer.
Bien sûr, l’équipe de campagne du vieux Biden s’est bien gardé d'en d’informer préalablement le triumvirat précité.
Pris au dépourvu, aucun des trois ne s’est précipité pour offrir son appui à la nouvelle égérie Kamala. Ils ont attendu pas moins d’une semaine avant de se joindre au concert de louanges abondamment relayé par les grands médias.
Il faut dire qu’avec son brushing, son tailleur, sa peau colorée et son attachement au transgenrisme, la candidate Harris procurait une certaine satisfaction au mouvement progressiste toujours prompt à dézinguer les codes traditionnels.
Aussi, s’opposer après coup au bulldozer en marche, c’était prendre le risque de déclencher les foudres des groupes féministes et anti-racistes. Barak, Chuck et Nancy durent faire bon gré contre mauvaise fortune. Pas le choix.
Le problème, c’est que Kamala est sotte et totalement incapable d’assumer la fonction suprême. Faut-il rappeler qu’en 2019, elle fut classée comme la sénatrice la plus gauchiste (100ème sur 100 selon l’organisme non partisan GovTrack). Donc encore plus que le sénateur outrancier Bernie Sanders, c’est dire.
Au demeurant, les démocrates du pays n’ont jamais été dupes puisqu’en décembre de cette même année, Madame Harris dut abandonner les primaires démocrates, un sondage la situant à seulement 3% parmi les autres candidats. Cela nous donne une idée de sa cote d’amour au sein de son propre parti…
Même l’actuel président ne l’a jamais vraiment apprécié. S’il la nomma à la vice-présidence en 2020, c’est uniquement pour répondre aux exigences de quelques très influents représentants noirs lors des primaires dans les états clés.
Aussi que Joe l’ait officiellement soutenue ce 21 juillet ne doit pas être vu autrement qu’un acte de vengeance contre les conspirateurs de son parti qui l’ont mis (à juste titre) sur la touche.
Il est donc peu surprenant que les derniers sondages accordent à l’ancien président Trump une confortable avance. Sera-t-elle suffisante ? On peut en douter. Le système électoral américain étant aussi sûr et transparent que celui d'une république bananière de Centrafrique, on doit s’attendre à tout. On sait déjà que ce sera pire qu’en 2020.
Rendez-vous dans 24 jours.
Marc Amblard – 12.10.2024