LE CARACTÈRE INÉDIT DE L’INCULPATION
L'inculpation du président Trump est sans précédent ; aucun président, ancien ou actuel, n'a jamais été inculpé auparavant.
QUE REPROCHE-T-ON À L’ANCIEN PRÉSIDENT ?
En 2016, alors qu’il n’était pas encore président, Trump aurait eu une relation extra conjugale avec Stormy Daniels, actrice X. Les intéressés démentent. Peu importe, jusque-là, rien de répréhensible.
En échange de son silence, Le premier aurait versé $130,000 à la seconde. Toujours rien de répréhensible.
Ladite somme aurait transité via l’avocat de Trump et aurait été comptablement et fiscalement enregistré en « frais juridiques ».
Oui, vous avez bien lu, c’est précisément ce que le Procureur de N.Y. reproche au candidat à la présidentielle 2024.
QUE CHERCHENT RÉELLEMENT LES DÉMOCRATES ?
Ron DeSantis, actuel Gouverneur de Floride a répondu hier à cette question : « La militarisation du système juridique pour faire avancer un programme politique bouleverse l'État de droit. C'est anti-américain. Le procureur du district de Manhattan, soutenu par Soros, a constamment enfreint la loi pour déclasser les crimes et excuser les fautes criminelles. Pourtant, maintenant, il étend la loi pour cibler un opposant politique. »
Rappelons que Alvin Bragg, le procureur qui est au cœur de cette affaire est un gauchiste, nommé grâce au soutien financier du milliardaire George Soros qui consacre une partie de sa fortune à faire élire des juges et des procureurs « progressistes » sur tout le territoire pour déstabiliser les Etats-Unis.
UNE CONDAMNATION EMPÊCHERAIT-ELLE TRUMP DE SE PRÉSENTER L’ANNÉE PROCHAINE ?
La constitution des Etats-Unis n’exige pas une virginité judiciaire pour se présenter et être élu. Par conséquent, même si Trump était condamné à une peine de prison, cela ne l’empêcherait d’être candidat et de réintégrer la Maison blanche.
Marc Amblard - 31.03.2023
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