La presse française n'en parle pas, mais les "ONG" financées par les services US (HRW, "Urgence Darfour" et compagnie) sont littéralement folles de rage contre notre futur président du Monde à cause de son dernier discours à l'ONU et de sa proposition pour une suspension des poursuites de la CPI à l'encontre d'Omar Al Bashir, le président Soudanais, si celui-ci acceptait toutefois certaines conditions :
les deux dirigeants inculpés par la CPI doivent quitter le gouvernement; une vraie coopération doit s'instaurer pour le déploiement de la force hybride ONU/Union africaine au Darfour; un accord durable doit être conclu entre Khartoum et les rebelles; et enfin l'intégrité du Tchad doit être garantie.
«C'est honteux. On ne peut pas marchander la justice sur une promesse de meilleure conduite. C'est honteux de laisser entendre que si on ne négocie pas avec Khartoum, le gouvernement soudanais va recourir à la violence contre les forces de maintien de la paix, contre les humanitaires. C'est une manière de saper les espoirs de justice des gens du Darfour.» Pour Richard Dicker, directeur du programme Justice internationale à Human Rights Watch à New York, «on est en train de dire que pour quiconque accusé par la CPI, il suffit de brandir des menaces de violence pour se voir attribuer par le Conseil de sécurité un statut d'impunité».
Pour en savoir plus, lisez la presse Suisse
A force d'énerver les ricains, notre frénétique champion de la diplomatie va finir par nous faire classer pour de bon dans l'"axe du mal".
On en finirai presque par le trouver sympa, à force.
Sacré Carlito.
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