jeudi 31 octobre 2019

ALSTOM SE SOULÈVE ! – Les Reportages de Vincent Lapierre

Winter is coming... le gaz russe aussi.

Jeffrey Epstein aurait été tué en prison, affirme un expert


(New York) Un expert mandaté par le frère de Jeffrey Epstein conteste la thèse du suicide du financier américain évoquée par le médecin légiste, et suggère que l’homme accusé d’agressions sexuelles aurait été en réalité tué en prison cet été.

«Les éléments témoignent davantage d’un homicide que d’un suicide», a déclaré Michael Baden à Fox News, évoquant de «multiples fractures» de l’os hyoïde, situé au niveau du cou, «qui sont très inhabituelles pour un suicide».

La mort en détention à New York de Jeffrey Epstein, le 10 août, avait brutalement mis fin de facto aux poursuites le visant pour avoir exploité sexuellement des jeunes filles mineures, privant les victimes présumées d’un procès qui s’annonçait retentissant.

À l’issue d’un examen «méticuleux», selon ses termes, la responsable de l’institut médico-légal de New York, Barbara Sampson, avait conclu que le financier de 66 ans s’était suicidé par pendaison.

Les avocats de Jeffrey Epstein avaient immédiatement mis en doute ces conclusions et annoncé le lancement d’une enquête «indépendante et complète» sur les causes de ce décès.
Pour Michael Baden, qui était présent lors de l’autopsie à la demande du frère de Jeffrey Epstein, les fractures sont typiques d’un homicide par «strangulation», a-t-il indiqué sur Fox News.

Âgé de 85 ans, l’expert a été le responsable de l’institut médico-légal de New York à la fin des années 70 et a pratiqué, au cours de sa carrière, plus de 20 000 autopsies, selon la biographie postée sur son site officiel.

«Nous restons sur notre position», a réagi Barbara Sampson. «L’examen initial était poussé et complet», a-t-elle ajouté, estimant qu’il n’existait «aucune raison pour que notre institut procède à un second examen».

Depuis la mort de Jeffrey Epstein, plusieurs observateurs ont mis en doute la thèse du suicide, sans pour autant apporter de preuve à l’appui de leurs hypothèses.

Gestionnaire de fortune devenu millionnaire lui-même, Epstein avait été inculpé début juillet de deux chefs d’accusation : exploitation sexuelle et association de malfaiteurs en vue d’exploitation sexuelle.

Il aurait organisé un vaste réseau de jeunes filles mineures qu’il faisait venir dans plusieurs de ses résidences pour abuser d’elles.

Il avait déjà été accusé et condamné en Floride, à 18 mois de prison en 2008, pour des faits similaires.
AFP

Visite de la ZAD de l'Amassada, en lutte contre l'industrie éolienne


C’est un amoncellement de cabanes, construites de bric et de broc, au sommet d’une longue colline entourée de vallons et de monts verdoyants où l’on discerne de petits hameaux lointains, des granges, et le village de Saint-Victor, à quinze minutes de marche. Exposés à tous vents, les lieux proposent un riche panorama de ce coin de l’Aveyron. Mais lorsque l’on regarde au loin, en quelque direction que ce soit, l’œil tique bientôt sur de hautes silhouettes grises qui se distinguent sur le ciel contrasté, strié de lignes à hautes tensions. La nuit, ce sont d’incessants clignotants rouges qui signalent les très nombreuses éoliennes industrielles (une centaine) installées depuis une quinzaine d’années dans la région.

LMDP

Voir aussi : 

ÉOLIENNES : Pas aussi écologique qu'on nous le dit... : LIEN

Projet de 20 000 ÉOLIENNES : le vent de la fronde se lève contre la catastrophe écologique promise par Macron : LIEN

vendredi 25 octobre 2019

Greta Thunberg s'enfuit face aux questions d'un journaliste canadien ! [VIDEO]


Dans une séquence vidéo publiée le 17 octobre par le journaliste Keean Bexte, du média canadien Rebel News, Greta Thunberg prend la fuite dans les couloirs d'un hôtel, rapidement entourée par ce qui semble être son équipe de communication.

« J'apprécierai que vous arrêtiez de nous parler »

« Le changement climatique est politique, non ? », demande Keean Bexte à son interlocutrice, qui lui répond : « Non, c'est de la science. » « Donc la science va résoudre le problème ? Voudriez-vous d'une solution technique pour résoudre le changement climatique ? Ou voudriez-vous que les politiciens résolvent le problème ? », poursuit le journaliste. C'est alors qu'une femme entourant la jeune fille prend la parole et indique brusquement : « J'apprécierai vraiment que vous arrêtiez de nous parler, maintenant. Nous avons une réunion ». Greta Thunberg, elle, s'engouffre dans le couloir de l'édifice, alors qu'un homme semble vouloir faire écran entre elle et le journaliste.

« Donc vous entreprenez un discours politique dans un pays étranger en tant qu'étrangère », enchaîne Keean Bexte, repris par la communicante, qui évoque du « harcèlement » et affirme avoir « le numéro de la police si nécessaire ». Le journaliste explique ensuite, face à la caméra, que l'adolescente suédoise se trouve alors à Edmonton, en Alberta, en pleines élections dans le pays. Il s'interroge aussi sur les fonds permettant à la militante écologiste de voyager et de propager ses idées. Surtout, il présente les images de sa rencontre avec elle, qui a démarré avec un selfie, avant de s'envenimer...
Source : VA

Voir aussi :

J’ai tenté d’interviewer Greta Thunberg... Je me suis trouvé face à une petite fille éteinte, sans passion, manipulée par des gens inquiétants, enfant sous terreur. : LIEN

Comment la finance internationale a fabriqué Greta Thunberg, la nouvelle "icône du climat" : LIEN  

Ce qui cloche avec Greta : LIEN

Quelle sortie de crise ? François Boulo - Charles-Henri Gallois

Vox Pop à la Marche pour le Climat

jeudi 24 octobre 2019

La Grande Interview - Kemi Séba

Donald Trump : une diplomatie hors codes


Il faut bien l’avouer : sous des postures de type télé-réalité, le président Trump, parfois, inquiète même ses observateurs intéressés. Puis, à la réflexion, on réalise qu’il y avait quelque chose à comprendre. Trump veut trois choses qu’aucun de ses prédécesseurs ne voulait ou n’a su faire avant lui : ne plus envoyer les fils de l’Amérique se faire tuer pour les lobbies de la guerre aux quatre parallèles du monde et réduire le coût de l’OTAN ; empêcher l’Iran d’acquérir la bombe et de diffuser son djihad chiite en Afghanistan, Bahrein, Irak, Liban, Palestine, Syrie, Yémen ; maîtriser la mondialisation multilatérale et, notamment, la pression commerciale des Chinois.
Ne pas avoir cela à l’esprit c’est s’exposer à ne rien comprendre à la nouvelle politique américaine, sur fond de résistance des lobbies de « l’État profond » (deep state) yankee.

France Inter s’est exposé à ce danger en titrant, ce 16 octobre : « Donald Trump, apprenti sorcier de la diplomatie ».

La critique porte essentiellement sur « sa décision de retirer ses troupes de Syrie […] aux conséquences […] désastreuses […] le résultat d’un fonctionnement instinctif critiqué y compris chez les Républicains ». Le journaliste éclaire à sa façon la politique étrangère de Donald Trump, ses « décisions […] qui ont fait trembler la planète. Quand il a quitté l’accord nucléaire avec l’Iran […] ou quand il a déplacé l’ambassade américaine à Jérusalem […] ou encore […] a entamé cette amitié improbable avec le dictateur nord-coréen Kim Jong-un ».

Tout ce vocabulaire choisi fausse l’analyse mais il n’est pas utile de perdre son temps sur ces sujets dont la présentation est biaisée par les mots utilisés. Donald Trump avait annoncé qu’il ferait rentrer les boys à la maison : il le fait, et ce sont ceux qui ont le plus critiqué les USA de s’être mêlés de tous les conflits du monde qui lui reprochent, à présent, de s’en retirer…

Ce journaliste vraiment « très bien informé » sait que « les événements qui se déroulent dans le nord de la Syrie […] prennent leur origine directe dans un coup de fil entre Donald Trump et le président turc Recep Tayyip Erdoğan ».

Or, il y a une autre explication : Donald Trump a vite compris que l’assaut donné à la Syrie par cet allié désormais aussi peu fiable que dangereux qu’est la Turquie d’Erdoğan (un Frère musulman dictatorial qui rêve de reconstituer l’Empire ottoman) se heurtera non seulement aux Kurdes syriens, plutôt gauchistes, mais aussi à l’armée syrienne très aguerrie, et surtout à la Russie.

Dans cette affaire, il n’y aura que des « vainqueurs » : Erdoğan dira qu’il a établi une zone de sécurité anti-YPG/PYD kurde à sa frontière sud-ouest ; Trump dira qu’il a retiré ses soldats mais qu’il n’y a pas eu de génocide kurde ; El-Assad dira qu’il a stoppé l’avance turque, et la Russie de dira rien – comme souvent – mais comptera les points de sa remarquable réussite stratégique : elle gardera ses quatre bases navales et aériennes en Méditerranée.

Des médias superficiels se sont dits surpris du virage à 180° effectué par les Kurdes de Syrie du fait de leur rapprochement si rapide avec El-Assad, alors que leur relative autonomie était le fruit d’un accord très officiel avec Damas, pour prix de leur engagement contre les islamistes.

Qualifier, comme le fait France Inter, Donald Trump de « président encombrant et dysfonctionnel », peut-être un jour destitué, est aller bien vite en besogne et passer sous silence le vrai problème de notre Président à nous, Français : celui des neuf postes français (dont huit décidés par Emmanuel Macron) pris au piège du nord syrien, selon l’agence de presse turque Anadolu, et qu’il aurait fallu dégager depuis trois semaines à la fin de leur mission officielle contre Daech.

Henri Temple (BV)

dimanche 13 octobre 2019

Extinction Rebellion vs Gilets Jaunes


Le groupe Extinction Rebellion, qui mène des actions dans plusieurs capitales, dont Londres et Paris, a payé ses militants jusqu'à 400 livres (450 euros) par semaine au Royaume-Uni, révèlent des documents financiers consultés par le journal britannique The Mail on Sunday. : LIEN

LA JEUNESSE POUR LE CLIMAT ME CASSE LES COUILLES

vendredi 11 octobre 2019

Quand les milices kurdes chères à BHL abandonnaient les chrétiens assyriens à DAECH


Traduction : 
Les assyriens d'Irak ne furent pas autorisés à se défendre contre Daech. En Juillet 2014, les forces militaires kurdes, les PESHMERGAS (grands amis de BHL) ont ordonné aux habitants des plaines de Ninive de déposer leurs armes. Les Peshmergas ont visité maison par maison et ont saisi TOUTES LES ARMES détenues par les Assyriens, les Yezidis et autres minorités. Les forces Kurdes (KRG) ont alors proclamé être dorénavant responsables de la sécurité de la région et les minorités ont reçu la garantie d’être protégées par les Peshmergas en échange de leurs armes. Ceux qui refusaient étaient menacés de sévères représailles.
Deux semaines plus tard, Daech lança une grande offensive et les Peshmergas se retirèrent sans prévenir, abandonnant les assyriens et les autres minorités aux djihadistes. Ils ne tirèrent pas une seule balle (témoignages du jeune assyrien Sipya Kado et d'une jeune Yezidi) et quittèrent précipitamment les villages.
Désarmées et sans la protection promise, les minorités n'ont eut d'autre choix que de fuir. 200.000 Assyriens ont du fuir leurs maisons et ne sont toujours pas revenus...

NON, les VRAIS vainqueurs de DAECH ne sont pas les milices kurdes soutenues par l'occident !
C'est l'Armée Arabe Syrienne (AAS) de Bachar El Assad qui a vaincu l'Etat Islamique, avec le soutien des russes, libanais et iraniens, pas seulement quelques femmes kurdes courageuses soutenues par les occidentaux comme tente de le faire croire la propagande de BHL et des néocons.

23 mars 2018. La Ghouta orientale est presque entièrement libérée et l'armée arabe syrienne entre dans Ein Tarma, une zone qui était sous le contrôle de plusieurs groupes terroristes depuis 2012. LIEN